Prendre le marquis…
Le samedi, jour de marché en ville basse, vous n’avez pas forcément beaucoup de temps devant vous. Et c’est bien compréhensible.
C’est pourquoi le samedi, sur ce blog, est consacré à la catégorie « Sur le vif ».
Je vous propose un cliché de Montereau ou des environs qui ne paraîtrait pas forcément ailleurs qu’ici.
Aujourd’hui c’est une photo prise du côté de la gare, qui démontre bien que tout fout l’camp, ma bonne dame…
On voit par là que se réclamer du divin marquis et interdire le public, c’est un peu comme si notre député-maire-ump tenait meeting à huis clos.
Et c’est aussi constater accessoirement qu’à Montereau, à défaut d’être dans le boudoir, la philosophie est parfois sur le trottoir.
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Inspiration, députation !
Vous, je ne sais pas, mais moi, si.
J’ai toujours trouvé que se posent au quotidien des questions qui relèguent la question de l’Origine de l’Homme avec un grand H au simple rang de devinette-Carambar !
Comment quand on est élu du peuple à l’Assemblée Nationale et en même temps Maire d’une commune de 18000 habitants, président d’une Communauté de Communes de 35000 âmes, VRP pour candidat en campagne électorale, responsable d’un site de supporters et père de famille, comment trouver le temps d’écrire des livres ?
(Le lecteur avisé comprendra aisément qu’en posant cette question d’ordre général, toute ressemblance avec des personnages existants ne saurait être que fortuite.)
Et même, fortuite de Schubert…
Et puisqu’il est question de littérature, comment ne pas apporter des éléments de réponse autrement qu’en alexandrins ?
C’était un jour funeste, les temps étaient amers,
Les Dieux en colère me rapp’laient qu’j’étais maire !
On me trouvait à cran, sans arrêt tempêtant !
Comment donc m’occuper et tuer tout ce temps ?
Ce fut alors, Ô joie, la révélation !
Melpomène et Clio me donnèrent l’onction !
Désormais, en habit, nu ou en caleçon,
Tous les jours, j’écrirai, avec un beau crayon.
En allant faire les courses, je compose un sonnet,
Je suis riche d’une ode, sorti des cabinets.
Je taquine la rime, en allant à Carrefour,
C’est sûrement moins loin que l’horrible Darfour…
Tout est bon, je l’avoue, (belle philosophie…)
Pour me faire commencer une biographie.
D’accord, à l’Assemblée, j’ai autre chose à faire,
Mais c’est plus fort que moi, je ponds deux ou trois vers !
Tout en catimini, derrière mon pupitre,
En un rien de temps, voilà quatre chapitres
A chaque grand meeting, de mon cher Sarkozy,
Je compose en cachette deux ou trois poésies.
Même dans son bureau, dans son beau ministère,
Je ne peux m’empêcher de penser à Molière.
Comme dirait Tartuffe, qui s’y connaît, en somme,
Pour être à Beauvau, je n’en suis pas moins homme.
Mais je vous le confesse, la plus grande trouvaille
Fut de le rencontrer, ce bourreau de travail.
Il préside au destin d’une immense succursale.
Il est le grand patron de France Universal.
J’ai compris grâce à lui, que le meilleur vinaigre
N’attrape pas les mouches. Grand merci, Pascal Nègre.
Que la suite des événements vous soit propice et néanmoins faste.
Votre dévoué HOU.
Tous ensemble, gonflés à blog !
Chose promise, chose due.
Je vous proposais voici quelques jours de faire un petit point sur la vie déjà très intense de ce blog.
Depuis sa création, voilà presque deux mois, environ 40 000 pages ont été lues. (Pour vous donner un ordre de grandeur, depuis mars 2005, c’est à dire depuis deux ans, les pages numériques de M. Albouy, premier Maire-adjoint de Montereau, ont été lues environ 80 000 fois.
La fréquentation du blog de notre député-maire-ump n’est quant à elle ni connue ni mentionnée.)
Le pic de 343 ordinateurs distincts ayant rendu visite à ce site en un jour constitue le record à battre.
(Attention, je n’ai pas dit que les possesseurs de ces 343 machines adhéraient tous à mon discours… J’ai des preuves…)
Mais attention : ce blog n’est qu’un outil.
Cet outil doit vivre grâce à vous.
En effet, je me refuse à faire figure d’homme providentiel. Il faut toujours se méfier des hommes providentiels, fussent-ils béarnais.
Ce blog c’est vous, ses lecteurs, qui devrez l’alimenter, comme vous avez déjà commencé à le faire.
Par vos commentaires, bien sûr (293 à ce jour, en incluant mes réponses. A ce propos, chez l’hébergeur « unblog », nous sommes médaille de bronze en nombre de commentaires, dans la catégorie « politique »…)
Mais évidemment, sans vouloir remettre au goût du jour la délation, il faudra continuer de témoigner, encore et toujours, il faudra relever les injustices criantes de la commune et/ou de la circonscription.
Il nous faut tous faire émerger les souffrances trop souvent tues, il nous faut faire sortir au grand jour une réalité trop souvent passée sous silence.
Une réalité bien entendue muselée par la presse locale, qui trop souvent s’auto-censure (et c’est un doux euphémisme), réalité muselée également en raison du verrouillage de l’info par la Mairie de Montereau ou par un certain bureau à l’Assemblée Nationale.
N’hésitez pas à me faire parvenir vos témoignages, vos textes, vos coups de gueule, comme Mme T., par exemple.
Je vous rappelle que ce blog adhère à la Nétiquette, c’est à dire que les propos injurieux, diffamatoires, ou inexacts en sont strictement bannis.
En un mot comme en cent, ce blog n’est qu’un caillou, une petite pierre à l’édifice (HOU et moi-même adressons un coucou à Brigitte, Colette et Soledad, qui se reconnaîtront…), mais cette petite pierre-là est faite pour participer à sa mesure à l’élaboration de cette France plus juste qui fera, comme l’affirme à juste titre Ségolène Royal, une France plus forte !
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Pas vu, pas PPRI…
La famille B. avait décidé, il y a plusieurs mois déjà, de se sédentariser à Montereau.
En apercevant un panneau qui annonçait la construction du futur Hameau St Jean, vers les ateliers techniques municipaux, M. et Mme B. se portèrent acquéreurs en toute confiance du petit lopin de terre, au lieu-dit « Tournebride », juste à côté.
Ils devaient y faire construire à terme une maison.
Quelques mois après avoir installé leurs véhicules, la saison froide devant arriver, ils décidèrent d’aller voir notre député-maire-ump afin que ce dernier accélérât (je vous jure que je ne l’ai pas fait exprès…) les procédures de viabilisation du terrain, à savoir l’installation de l’eau courante et de l’électricité.
Hélas, notre édile opposa un refus catégorique.
Entre temps, coïncidence, le Plan de Prévention des Risques d’Innondation, le PPRI avait changé : le terrain de M. et Mme B. se trouvait dorénavant inclus dans la zone à risque.
(C’est la petite pointe sur les cartes, juste avant le TGV.)
La présence de caravanes aurait-elle été susceptible de décourage d’éventuels acheteurs ?
Maintenant, à la place du Hameau St Jean, initialement prévu, on peut découvrir des jardins « ouvriers ».
Et juste à côté, en hiver, les enfants B. qui étudient leurs leçons à la lumière fournie par un groupe électrogène, et qui se lavent au moyen de bidons d’eau apportés sur place.
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Belle leçon d’humidité… (La suite)
Si vous êtes décidément accro à ce blog, vous ne pouvez ignorer que Mme T . (Ce surnom risque de lui rester…) a été très émue et très touchée par vos nombreux témoignages de solidarité, à propos du lamentable état d’insalubrité dans lequel elle et sa famille étaient obligés de vivre.
Moi même, je n’imaginais pas en créant cet espace numérique « rassembler » autant d’internautes.
D’ailleurs, dans quelques jours, nous ferons ensemble le point à ce propos.
Non, il y a des choses qu’on ne peut plus accepter, plus tolérer.
Non, il n’est plus possible de tout passer sous silence.
(Le rappel de cette situation est disponible en cliquant sur la date du 23 février dernier, sur le calendrier ci-contre.)
Afin de poursuivre l’action, pourquoi ne pas établir une pétition, soit globale, soit individuelle (chacun adressant ses récriminations à l’ex-OPHLM), une pétition demandant à Confluence-Habitat de ne plus laisser vivre une quelconque famille dans un tel type d’appartement ?
Il y va de la dignité des personnes, mais aussi de leur santé.
Et pourquoi ne pas adresser une copie de cette pétition aux différentes autorités, à la presse locale, voire nationale ?
Je suis persuadé qu’en ce moment, ce genre de texte ne manquerait pas de faire son petit effet.
Suivez mon regard !
Il n’en reste pas moins vrai que Mme T. peut également décider (il en va de son libre-arbitre) de mener plus loin sa plainte.
(Se référer au commentaire de « Bécassine ».)
Je suis sûr que la DDAS, par exemple, saurait également quoi faire…
Malheureusement, le cas de Mme T. n’est pas isolé, d’autres familles souffrent, le plus souvent en silence.
A Montereau. En 2007.
Même si cela ne fait pas plaisir à entendre pour certains.
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Confluence-Habitat
45 Square Beaumarchais
77130 MONTEREAU FAULT YONNE
Tel : 01 64 70 53 08
Sheila lutte finale ?
Vous, je ne sais pas, mais moi, si.
Je voudrais louer aujourd’hui Madame la récemment nommée Directrice des affaires culturelles et Monsieur le récemment nommé Directeur des Services techniques de la Ville de Montereau.
Oui, de véritables louanges et des lauriers en or (et même un or d’une massivité absolue), pour cette propension qui est celle de ces deux récemment nommés à travailler la main dans la main et mettre sur pied des projets à la fois communs et complémentaires.
Mais jugez plutôt.
Vous le savez, Sheila, (oui, oui, Sheila, Annie CHANCEL pour les intimes…), cette artiste complète dont on ne sait toujours pas si elle va rejoindre les intellectuels soutenant M. Sarkozy, Sheila donc, va se produire à Montereau, dans quelques semaines, à l’occasion d’un come-back effréné, méritoire et surtout indispensable, d’où le titre de ce billet.
Et bien, vous me croirez si vous voulez, mais l’entreprise de démolition sélectionnée pour liquider les immeubles de la rue Jules FERRY a été spécialement choisie pour faire plaisir à l’immortelle interprète de ce tube interplanétaire qui relègue la sonate pour piano N°2 de CHOSTAKOVITCH au rang de comptine pour petite section de maternelle, je veux bien sûr parler de cette chanson éternelle « Les rois mages ».
Bon, je sais, c’est facile…
Mais je voudrais vous y voir, vous : on n’a pas tous les jours un rapport de la cour des comptes, des caméras cassées-réparées, des chiffres de l’emploi à contester au cours de jours plus ou moins ouvrables, ou encore des rumeurs plus ou moins vraies à se mettre sous la dent…..
Ce serait en effet trop beau et peut-être même pour tout dire, inespéré…(Merci, Georges…)
Que la suite des événements vous soit propice et néanmoins faste !
Votre dévoué HOU.
Compartiment rumeur
qu’il est doux de constater que dimanche est revenu, avec son cortège de farniente, de gemütlichkeit et de dolce vita. (Oui, décidément oui, l’Europe est bien en marche…)
C’est bien entendu l’occasion de jouer encore et toujours avec la même règle, courte mais simple : rumeur ou pas rumeur ?
Notre député-maire-ump, toujours dans sa quête d’attirer à lui les enfants des partisans du candidat-ministre-jusqu’à aujourd’hui, notre député-maire-ump, donc, a proposé de rebaptiser son parti.
Adhérez à l’UMP3, les Djeun’s ! Yo man ! Rumeur, pas rumeur ?
Pour donner suite au printemps des Poètes, notre député-maire-ump a pensé faire rédiger le compte-rendu du prochain conseil municipal en alexandrins. Rumeur, pas rumeur ?
Les conseils municiapaux monterelais étant très rapides (de méchantes langues n’hésitent pas à parler de chambre d’enregistrement, en évoquant leur déroulement… Ah ! ces méchantes langues….), dix alexandrins devraient suffire. Rumeur, pas rumeur ?
Dans le N° 752 du 7/7, était publiée une annonce recherchant un ergothérapeuthe. Une coquille s’étant glissée, il fallait comprendre qu’on recherchait en fait un egothérapeuthe. Rumeur, pas rumeur ?
Avec toutes ses dates de tournées, notre député-maire-ump a décidé d’engager M. MAROUANI comme impresario. Rumeur, pas rumeur ?
Si, décidément, vous séchez lamentablement, n’hésitez pas à contacter votre serviteur. Je me ferai un plaisir de vous tuyauter un tantinet pour vous mettre sur la voix et la voie de la bonne réponse !
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Avoir pigeon sur rue ?
En ce premier samedi du printemps, j’aimerais vous présenter Monsieur et Madame Streptopelia Decaocto.
M. et Mme Streptopelia Decaocto, plus connus sous le nom de M. et Mme Tourterelles turques (c’est leur pseudo), ont choisi de venir s’installer en France.
Mais pas n’importe où.
Ce couple de deux ressortissants de l’ex-empire ottoman a choisi de se placer sous la double protection de l’école républicaine et du drapeau tricolore.
Bon, évidemment, si on y regarde de plus près, M. et Mme Streptopelia Decaocto sont des sans-papiers et des sans domiciles fixes.
Ils vont donner naissance à l’école à des petites tourterelles. Apprendront-elles à lire, alors que le GIP et la Politique de la Ville ne financeront plus les projets du Réseau d’Education Prioritaire à partir de l’année prochaine ?
Quoi qu’il en soit, j’aime assez la démarche de Monsieur et Madame Streptopelia Decaocto. Ils n’ont pas eu besoin qu’on leur dise qu’ils avaient été choisis pour venir s’installer chez nous, ni qu’un ministère, fût-il de l’identité nationale, leur délivre un visa.
Bon. En même temps, je n’ai pas dit que leur vie serait de tout repos tous les jours, ici.
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Belle leçon d’humidité…
Mme T., monterelaise depuis sa naissance, habite cet immeuble « géré » par Habitat-Confluence-ex-OPHLM.
Voici maintenant quelques clichés que m’a confiés Mme T.
C’est l’intérieur de son appartement, dans lequel elle et sa famille vivent depuis longtemps, et dans lequel ils viennent de refaire une nouvelle fois la tapisserie.
Une petite précision : Mme T. n’a jamais eu de dette envers le bailleur.
Je vous laisse découvrir l’état des lieux, l’état de dégradation et l’état d‘humidité, de moisissure qui règnent là, et ce, malgré le chauffage central…
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Mme T. n’en peut plus, et l’observateur un tant soit peu impartial ne pourra que reconnaître l’épouvantable état de cette habitation.
(Et je vous fais grâce des parties communes, nous parlerons de ce problème une autre fois.)
Il fait tellement humide que le médecin de famille a dû établir un certificat médical mettant en cause les moisissures en ce qui concerne les problèmes de santé de l’une de ses filles.
Elle a évidemment adressé ses plaintes et ses récriminations aux services concernés de l’Office des HLM monterelais.
Réponse de ces derniers: « Vous n’avez qu’à faire une demande pour un autre logement ». Tellement facile !
Mme T. aime son quartier, elle a toutes ses amies près de chez elle, et refuse pour l’instant de déménager, ce qui est son droit le plus strict.
Elle est donc allée alerter notre député-maire-ump.
Réponse de ce dernier : « Je ne peux rien, voyez avec votre assurance. » (On voit par là qu’on est loin de la positive-attitude chère au regretté J.P. Raffarin qui nous manque tant…)
Réponse de l’assureur « Ah, mais nous, on ne peut rien, car il ne s’agit pas d’un dégât des eaux… »
C’est un véritable cercle vicieux.
Cet immeuble est-il destiné à la démolition ?
Veut-on faire partir les habitants de ce quartier ?
Comment peut-on, quand on est bailleur, laisser vivre des familles, des enfants dans de tels lieux ?
Oui, décidément oui, voilà le sombre et révoltant quotidien de certains Survillois.
C’est lamentable ! Ces clichés sont bien évidemment en complet décalage avec l’image de la ville que voudrait donner notre député-maire-ump.
Mais voilà la triste réalité.
Mais je vous ai gardé le « meilleur » pour la fin : récemment, le vide-ordure de Mme T. s’est brisé. Elle a demandé à l’Office son remplacement.
Réponse de ce dernier : « Il sera remplacé et vous sera facturé ! »
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Veuillez décliner votre nombre !
Dans le papier en date du 9 mars dernier, j’avais proposé à notre député-maire-ump de nous clarifier et nous détailler sa baisse annoncée de 20% du chômage dans notre canton. (Baisse passée finalement à 17,6 % depuis hier).
J’ai eu beau scruter les commentaires de ce blog, l’édition du 7/7, la République ou le Parisien, point d’éclaircissement sur ce beau – 20% ou ce un peu moins beau et très récent – 17,6 %.
Comme c’est dommage !
Dans le même temps, j’ai demandé à Monsieur René NOIRAULT, grande figure du syndicalisme de notre région et homme d’une intégrité totale reconnue par tous, de me communiquer les éléments qu’il avait en sa possession concernant l’emploi dans notre région.
Qu’il soit ici une nouvelle fois remercié. (Et imité !…)
1992 : Montereau compte 18664 habitants, 8000 actifs et 1440 chômeurs.
1994 : 18000 habitants et 1638 chômeurs (924 hommes et 714 femmes)
1996 : 1464 chômeurs dans notre cité, mais le nombre d’habitants baisse en proportion.
Il faut se souvenir qu’en dix ans, la population monterelaise passera de moins de 20000 habitants à 17000. (Montereau n’a jamais atteint 20000 habitants, ce qui aurait fait passer la dotation/Etat dans la tranche supérieure…)
1998 : Population : 17585 habitants.
1999 : 1300 chômeurs sont annoncés par les organismes officiels, dont 441 jeunes chômeurs (16/25 ans)
2004 : Les mêmes organismes comptabilisent désormais les résultats du canton : 3072 demandeurs d’emploi sont recensés, dont 1960 à Montereau même.
2005 : 2875 chômeurs, avant la fermeture de Kuhn-Nodet.
Rappelons que la communauté de communes compte environ 35000 habitants, avec 67 entreprises de plus de 10 salariés.
Enfin, concernant le nombre de Rmistes, en 1995, ils étaient environ 500, et en 2005, le nombre de 1100 était annoncé, c’est à dire plus du double. (582 à Montereau même.)
On le voit, la situation n’est pas fameuse, et ceci est un doux euphémisme !
Notre député-maire-ump est devenu le premier magistrat de la ville en 1995.
Il faut savoir qu’en 2004/2005, nous détenions le triste record du plus fort taux de chômage de Seine-et-Marne.
Je renouvelle donc ma proposition à notre édile : pourquoi ne pas publier les chiffres régionaux officiels, issus des organismes concernés, et aux normes du Bureau International du Travail ?
Peut-être arriverais-je ainsi à comprendre cette supposée baisse de 20% passée hier dans le 7/7 à 17,6 %.
Pour l’instant, désolé, mais je n’y parviens pas, notre député-maire-ump se gardant bien d’avancer de quelconques chiffres concernant le nombre d’emplois créés, le nombre d’entreprises créées, le nombre d’installations d’entreprises et le nombre de chômeurs radiés des listes dans notre canton.
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