Une belle leçon d’humidité (La suite…)
Je voudrais aujourd’hui faire le point sur la situation de M. et Mme T., dont l’appartement loué à Confluence-Habitat était à ce point insalubre que l’humidité était préjudiciable à la santé de leurs enfants.
(Pour un rappel des faits plus en profondeur, vous pouvez cliquer sur les dates des 23 et 27 mars derniers, sur le calendrier ci-contre.)
Soudainement « émue » par la publication en ligne des photos de cet appartement, et par la pression exercée par de nombreux lecteurs de ce blog, la direction de Confluence-Habitat-ex-OPHLM a décidé de saisir son assureur, les AGF.
La compagnie a proposé un dédommagement de 1759,45 Euro, à l’Office, afin de rénover les lieux.
Ce qui est somme toute assez peu par rapport à l’ampleur des dégâts. (Il ne s’agit pas en effet que de refaire uniquement les peintures…)
C’est évidemment ce qu’a pensé le couple de locataires, d’autant plus que ce dédommagement était assorti d’une proposition de rénovation dans six à sept mois seulement.
Le lendemain, M. et Mme T. ont donc saisi l’inspecteur de salubrité de la DDAS, avec un courrier explicatif et les fameuses photos.
Encore tout à fait par hasard, en apprenant ceci, Confluence-Habitat-ex-OPHLM a donc décidé de proposer un autre appartement tout proche du premier, avec une première visite réalisée en fin de semaine dernière.
Hélas ! En entrant dans le nouvel appartement, Mme T. et le représentant du bailleur ont été aussi surpris l’un que l’autre de constater qu’il s’agissait en fait d’un squatt dans un état lamentable, rempli de cyclomoteurs, de moteurs, de pièces mécaniques en tous genres, au milieu d’innombrables cannettes de bière, et autres bouteilles.
Un nouveau rendez-vous a donc été pris.
On peut penser que le dénouement est enfin proche.
La famille T. m’a adressé une nouvelle fois ses chaleureux remerciements, afin que je puisse vous les répercuter, vous qui vous êtes émus, et manifestés, afin de faire connaître le triste état de certains appartements monterelais.
Enfin, pour terminer, je ne résiste pas à l’envie de vous communiquer l’article 35 du règlement sanitaire départemental de la D.D.A.S.
Juste à titre d’info pouvant être utile…
Locaux inondés ou souillés par des infiltrations
Les locaux inondés ou souillés par quelque cause que ce soit : inondation générale, déversements accidentels, infiltrations ou non-étanchéité des équipements, notamment d’alimentation en eau ou d’évacuation des eaux pluviales ainsi que des eaux et matières usées, doivent, après enlèvement des eaux et matières répandues, être nettoyés et désinfectés, le plus rapidement possible.
La remise en usage des fosses d’aisance et des puits doit faire l’objet de toutes mesures que nécessite la destination de ces ouvrages.
Les dégradations causées par les eaux et pouvant compromettre la salubrité ou la sécurité des immeubles sont réparées à bref délai.
En cas d’urgence ou de risque imminent pour la santé publique, il peut être procédé à l’exécution d’office des mesures nécessaires dans les conditions prévues par le code de la santé publique.
___________________________________________________________________________
Ardisson de cloches ?
Vous, je ne sais pas, mais moi, si.
Je me targue d’appartenir à cette frange de la population française qui contribue à augmenter l’audimat de M. Ardisson, et il n’est pas rare que l’on me trouve assis devant mon téléviseur quand l’homme en noir brocarde ses invités.
C’est pourquoi, en ce lundi pascal, je me suis surpris à lui proposer un questionnaire. Un questionnaire comme Thierry les aime, au cas où mon animateur préféré aurait l’idée d’inviter sur son plateau notre député-maire-ump.
C’est un questionnaire qui n’admettra que deux réponses : Jégo, ou gigot. (C’est Pâques, je vous le rappelle…)
Pour commencer, un exemple d’une facilité déconcertante.
Il est meilleur quand il est saignant. C’est ? Un gigot, bien sûr…
Allez, à vous de faire.
On peut manger sa souris. C’est ?
On peut facilement s’en payer un bon morceau. C’est ?
Il est souvent accompagné de flageolets. C’est ?
Son manche est un instrument qui s’emboîte parfaitement à l’os. C’est ?
Il n’est pas souvent tendre. C’est ?
Le meilleur, c’est son gras. C’est ?
Parfois, il sent l’ail. C’est ?
On peut le trouver à la cantine de l’Assemblée Nationale. C’est ?
Maintenant, regardez-moi bien droit dans les yeux, fidèles lecteurs-internautes . Pourriez-vous me certifier qu’à certaines questions, vous n’avez pas été tentés de répondre « Les deux ! » ?
Que la suite des événements vous soit propice et néanmoins faste.
Votre dévoué HOU
___________________________________________________________________________
Zone non-rumeurs ?
Comme je comprends votre ressentiment, fidèles lecteurs à la fois internautes et dominicaux.
Pour cause de 1er avril, vous fûtes privés, la semaine passée, de votre lot hebdomadaire de bruits qui courent plus ou moins vérifiés !
Qu’à cela ne tienne ! Aujourd’hui voit le retour de notre grand jeu « Rumeur, pas rumeur ? »
Notre député-maire-ump a prévu de rebaptiser la place au blé.
Désormais, nous pourrons distribuer nos tracts sur la place aux stocks-options.
Rumeur, pas rumeur ?
Notre député-maire-ump, bien que chérissant les gadgets électroniques en tous genres, n’achètera pas la toute nouvelle console de jeu Sony, la PS3. Motif de ce refus : les deux premières lettres de cette machine.
Rumeur, pas rumeur ?
Après avoir fait installer des machines à voter électroniques dans les bureaux de scrutins monterelais, notre député-maire-ump va équiper la ville de machines à tracter électroniques sur la place du Colonel Fabien. (Très utiles notamment par temps de grand froid…)
Rumeur, pas rumeur ?
En ayant fait programmer le DJ David VENDETTA lors du prochain festival confluences, notre député-maire-ump se prépare un point de chute, au cas où les choses ne tourneraient pas comme il le souhaite.
En Corse, le point de chute !
Rumeur, pas rumeur ?
Après le rond-point Georges POMPIDOU, la salle François MITTERRAND, l’avenue Charles De GAULLE, notre député-maire-ump se propose d’honorer notre actuel président de la République sur le départ.
Il dévoilera donc bientôt une plaque « Impasse Jacques CHIRAC ».
Rumeur, pas rumeur ?
Comme dirait ma boulangère, le pire, c’est que tout a l’air possible !
_______________________________________________________________________
Manque d’adresse ?
Samedi !C’est la course, peu de temps à consacrer à la lecture.
Donc, voici deux photos, qui montrent bien l’importance des symboles.
Ces symboles qui sont sensés faire mieux accepter la réalité, comme disait le grand Sigmund en pleine forme !
Comme c’est bien vu !….
__________________________________________________________________________________
Ah ! Rouvrez les maisons !
Vous, je ne sais pas, mais moi, si.
Je voudrais aujourd’hui manifester mon enthousiasme envers notre député-maire-ump, afin de célébrer ici et pas plus tard que maintenant sa naturelle propension à trouver de jolis noms à nos nouveaux quartiers et autres nouvelles résidences.
Des noms ronflants comme une marque de fromage, (le carré Langevin, au bon lait cru, par exemple, dans lequel on ne manquera pas d’arrondir les angles en permanence), des noms conquérants et aguicheurs, des noms qui vous font bien sentir que nous sommes entrés dans une ère de définitive et irrésistible modernité.
Mais force est de reconnaître que notre édile s’est surpassé en prévoyant de baptiser un pâté de 300 à 400 maisons (c’est d’ailleurs à ce niveau plus une terrine de maisons qu’un pâté…), le quartier des « bords d’eau ». C’était écrit en toutes lettres dans la dernière édition de la République de Seine et Marne. (La dernière édition en date, j’entends bien…)
Ah ! le quartier des « bords d’eau » !
Ca, c’est un nom qui sonne ! Ca, c’est un nom prometteur de jouissances, de délices et de félicités plus ou moins tarifées à venir !
Faut-il rappeler qu’au Moyen-âge, les quartier des bords d’eau, qu’on écrivait plutôt quand on savait écrire quartier des « bordeaux », était un quartier comment dire…. très spécialisé.
Dans les venelles sombres de ces endroits isolés, on trouvait en effet de ces maisons plutôt closes, celles-là même qu’une Marthe Richard au mieux de sa forme fit interdire à la libération.
Ah ! le temps béni des « bords d’eau » serait-il de retour ? Verra-t-on à Montereau le retour des lupanars, dans lesquels on pouvait prendre en toute discrétion le sien ?
En tout cas, ce qui est sûr, (et qu’on n’aille voir ici qu’une de mes nombreuses initiatives destinées à aider notre édile…) c’est que dans ce nouveau quartier des « bords d’eau », notre magistrat municipal devrait y faire installer une salle de sport pourvue d’un ring, afin de développer le noble art cher à Cassius Clay, Marcel Cerdan, et Carlos Monzon réunis.
En lettre de feu et de néon, sur le fronton de cette salle, brillerait ce fier et définitif impératif : Boxons !
Enfin, on voit surtout par là, la formidable capacité de notre député-maire-ump à adopter les règles de la « maquereau-économie » !
Que la suite des événements vous soit propice et néanmoins faste !
Votre dévoué HOU
_____________________________________________________________________
Machines à voter : boutons de Panurge ?
Vous le savez, notre député-maire-ump chérit les gadgets électroniques en tous genres : tableaux de plus en plus interactifs, téléphones cellulaires dernier cri qui envoient des sms pendant les conseils de la Communauté de Communes, sans bien évidemment oublier les machines à voter électroniques dont il a commencé à équiper Montereau.
(Et ce, grâce à un décret du ministère de l’Intérieur du 17 novembre 2003, sous l’ère du prédécesseur de M. BAROIN.)
Comment ne pas résister à l’appel des sirènes de la modernité galopante, je vous le demande un peu !
Chantal Enguerhard, elle, n’est ni députée, ni maire, ni même monterelaise.
Informaticienne, enseignante-chercheuse au CNRS (on voit par là qu’elle touche sa bille en ordinateurs, comme dirait ma coiffeuse), elle a exprimé, avec son association, les plus vives réserves quant à la fiabilité de ces machines, et a émis des doutes sur le processus démocratique généré par ces appareils.
Ces machines sont des ordinateurs, donc soumis aux caprices des octets et autres bits. (Qui n’a jamais connu et pesté contre un plantage, que ce soit sous Windows ou sous Mac OS ?)
De plus, les résultats peuvent être faussés, puisqu’il est toujours possible de rentrer dans un code-source.
Ensuite, Mme Enguerhard résume d’une jolie formule la faiblesse du système démocratique : « C’est comme si vous aviez confié la soirée électorale à un prestataire privé. Une fois que tout le monde a voté, il prie le Président et ses assesseurs de sortir du bureau de vote, s’y enferme, procède seul au dépouillement, sort du bureau et proclame les résultats officiels. »
Avouez que vu sous cet angle, la modernité procure un inévitable frisson dans le dos…
(Et même si en cas de litige, le ministère de l’intérieur a confié la vérification du processus au Bureau Véritas, qui appartient au passage, au Baron Sellière…)
Les Verts, le PC, M. Bayrou, Mme Lepage, M. Scwartzenberg, entre autres, ont déjà réclamé sans succès l’interdiction de ces ordinateurs.
Dans quelques semaines, les machines à voter recueilleront environ 1,4 millions de suffrages.
En ces temps où les scrutins sont de plus en plus serrés (on se rappelle qu’en 2002, M. Jospin avait été éliminé avec 194 000 voix de retard), il était donc logique de voir fleurir sur Internet des pétitions pour le maintien du bon vieux vote en papier, qui, somme toute, à fait ses preuves…
http://www.ordinateurs-de-vote.org
On pourrait peut-être inscrire sur ces machines « It’s more fun to compete », comme sur les bons vieux flippers ?
_____________________________________________________________________
Recrutement (en un seul mot…)
Aujourd’hui, je vous dois un mea culpa : jamais, au grand jamais, je n’avais visité le salon monterelais du recrutement.
Désireux de combler cette lacune, c’est tout naturellement pourvu d’une curiosité on ne peut plus forte que je pénétrai dans ce temple du recrutement, vendredi 30 mars dernier.
Tout d’abord, quelle ne fut pas ma déception. Moi, je m’attendais naïvement à voir des recruteurs un peu comme dans Fanfan la Tulipe, le film de Christian-Jacque.
En habit rouge et bleu, un tricorne vissé sur le chef, à grands renforts de promesses, engagez-vous qu’ils disaient, rengagez-vous, en distribuant à tire-larigot de grandes rasades de ratafia, des sergents-recruteurs auraient haussé la voix pour attirer les meilleurs candidats.
Nous en fûmes très loin.
Après avoir questionné moult représentants de divers exposants, force est de constater que peu d’offres d’emploi étaient disponibles, notamment en ce qui concerne les CDI.
Les entreprises avaient plus l’air de se trouver dans ce salon pour faire plaisir à notre député-maire-ump que pour réellement recruter.
A part une demande expresse,un besoin urgent et une quête impérieuse de métiers de bouche, peu d’offres alléchantes.
(N’allez pas vous imaginer des choses, internautes-lecteurs peu versés dans les subtilités des métiers de bouche : il n’était ici question que de bouchers et de boulangers-pâtissiers.)
Mais ma véritable surprise a été de constater qu’aucune entreprise pressentie par notre député-maire-ump pour faire partie de ses dix projets pour les années 2007-2010, aucune de ces entreprises n’était présente sur ce salon, excepté le groupe Leclerc, déjà implanté à Varennes sur Seine, il est vrai.
N’est-il pas curieux que GEMFI logistique, Faure et Machet, Call center EOS, les Transports BERT, Iberdola ou encore Immofi n’aient pas été présents alors qu’elles ont été annoncées à grand renfort de communication médiatique ?
Ne serait-ce que pour se présenter aux demandeurs d’emploi de la région, ou pour un pré-recrutement. (C’est une pratique couramment répandue. Mais ailleurs.)
On m’a répondu (j’ai posé la question…) que le « process » (sic) n’avait pas démarré.
Mais alors, le « process », quand va-t-il démarrer ?
Après les élections ?
C’est tout de même curieux, cette propension locale à voir l’emploi redémarrer après les élections…
(Oui, je sais… C’est ce qui s’appelle « en remettre une couche » !…)
_______________________________________________________________________________
Expulsion partielle…
Avec le printemps, les hirondelles ne sont pas les seules à revenir dans nos contrées.
Moins bucoliques, les expulsions locatives sont de retour, notamment à Surville.
J’en veux pour preuve la tentative qui s’est déroulée il y a pratiquement deux semaines, à l’encontre de la famille B., un père, une mère et quatre enfants dont un diabétique.
Jeudi matin, dans la boîte aux lettres, un courrier annonçant l’expulsion pour le lendemain, quand les enfants auront été déposés à l’école.
Immédiatement, le quartier se mobilise. Entre 8h00 et 9h00, le service contentieux de Confluence-habitat-ex-OPHLM de Montereau est accueilli par un groupe de locataires solidaires qui contribueront à l’échec à la procédure.
Certes, la famille B. était débitrice de la somme astronomique de 33000 euro, depuis 1999.
Tout de suite, une question se pose : comment peut-on laisser, pour un organisme qui se dit social, comment peut-on laisser s’accumuler une dette de cette ampleur ?
Généralement, dans les offices qui développent une politique réellement sociale en matière de logement locatif, à la première alerte, un suivi est mis en place : si la famille est en difficulté, on l’aide à faire appel aux Fonds de Solidarité Logement qui, entre parenthèses, a été créé pour ça.
http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F1334.xhtml
Au lieu de cela, on a laissé la famille s’enfoncer. Pire, comme elle ne payait pas son loyer, son aide au logement lui a été supprimée, installant un véritable cercle vicieux, dont on ne l’a pas aidée à sortir.
Ce qui explique cette somme gigantesque de 33000 euro.
Il est fort probable que cette expulsion n’arrive pas à n’importe quel moment.
M. B., ex-salarié à la Régie de Quartier, avait attaqué aux Prud’hommes et obtenu un dédommagement de 6800 euro.
Ca n’est pas pour me vanter, mais la vie réserve de ces coïncidences, tout de même…
Rappelons pour terminer qu’une procédure d’expulsion obéit à des règles très strictes.
Je vous laisse le lien ci-dessous pour plus de précisions.
http://www.adai13.asso.fr/fiches/log/log_expulsion.htm
__________________________________________________________________________________
Communauté réduite aux aguets ?
Lundi 26 mars, comme l’a rappelé ce matin la presse locale, s’est déroulé le dernier conseil en date de notre Communauté de Communes des deux fleuves.
A cette occasion, j’aimerais apporter un éclairage quelque peu différent de ce que pouvait nous révéler la République de Seine et Marne.
En premier lieu, il vous faut savoir qu’assister à un conseil de la CC2F n’exige pas un investissement inconsidéré de votre temps : en 52 minutes, l’affaire était dans le sac. Plus rapide que Chronopost, UPS ou Fedex réunis ! Débutée à 19h30, la séance était levée à 20h22 !
Véritable Benjamin Castaldi des temps modernes, notre député-maire-ump joue quant à lui le rôle d’animateur : il présente chaque rapporteur de commission, qui, une fois le micro récupéré, expose aux différents élus un texte ou un budget à approuver.
Un texte ou un budget que chaque élu en question a découvert la minute précédente en tournant la page de la brochure distribuée en début de réunion.
Nous avons noté au passage les excuses de M. le Maire de Marolles sur Seine pour la trivialité de devoir présenter un budget de 1000 euros ! Qu’est-ce que 1000 euros de nos jours, ma bonne dame !…
Mais parfois, un grain de sable vient gripper cette belle mécanique.
Pour la première fois de son histoire, la CC2F a vu quelques irréductibles gaulois résister à l’envahisseur, comme aurait dit le très regretté Goscinny.
Le délégation forgeoise emmenée par un Romain Senoble au mieux de sa forme, a refusé de voter le budget communautaire, ce qui a constitué une première !
Il faut bien avouer que ceci a eu pour effet de plonger notre député-maire-ump dans une colère que d’aucuns n’auraient pas hésité à qualifier de noire.
Quoi ! Comment ! On ose casser mes jouets ! C’est inadmissible !
On ose demander une gestion de la communauté en « bons pères de famille » (je cite) ?
A bout d’argument pour essayer de faire revenir les contestataires sur leur décision, il n’a pas hésité à proposer aux élus dissidents de quitter la CC2F, non mais sans blague ! Na !
Est-ce cette ire présidentielle qui empêchera par la suite une quelconque question des participants à ce conseil ?
En tout cas, en plus de bénéficier d’une leçon à la fois gratuite et inattendue de savoir-vivre (pour plus de détails, me contacter…) notre député-maire-ump a pu dépenser son forfait sms.
Tout au long de la séance, pendant les lectures des rapporteurs, il n’a pas pu s’empêcher d’échanger avec son Jean-Baptiste Dugoin de Directeur des services à la Mairie de Montereau assis dans les rangs du public, quantité de textos, en arborant moult sourires entendus, voire moqueurs…
C’est à ce genre de détail que nous pouvons nous rendre compte que nous vivons dans une démocratie moderne !
Moderne et surtout respectueuse !
______________________________________________________________________________
C’était écrit….
Voilà, ça devait arriver…
Ce matin, Maître Cabe-Hillot, huissier de justice, et ses assistants, MM Colin et Lemproy sont venus saisir tout mon matériel informatique.
Comme ici on ne vous cache rien, je dois vous dire que suite à une plainte de Mmes Latruite, Brauchet et Mairelan, à propos du papier d’hier concernant l’évocation du sulfureux marquis, les hommes de loi sont venus me signifier l’interdiction de poursuivre ce blog.
C’est privé de matériel, chez ma voisine, Mme Lang-Hille, que je vous adresse ces quelques derniers mots numériques.
Ce fut une belle aventure, et je vous remercie, vous, les internautes-lecteurs de votre fidélité à toute épreuve.
Encore une fois, tout tombe à l’eau !
/
/
/
/
/
/
/
/
/
/
/
/
/
/
/
/
/
/
/
/
/
/
/
/
/
/
/
/
/
/
/