En vert, mais pas contre tout…
Vite, c’est samedi, et qui plus est, un samedi de vacances pour certains d’entre vous.
C’est dire si votre temps est compté…
Deux petites photos, qui prouvent bien qu’à Surville, les espaces verts n’ont besoin de personne pour se développer…
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Je me demande tout de même si le passage de Doc Gynéco à Montereau n’aurait pas un rapport avec la prolifération de toute cette herbe…
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Le vert est la couleur de l’espoir Monsieur Hou, même si les musiciens ne l’affectionnent pas particulièrement …
Alors réjouissons nous qu’elle envahissent naturellement les plates bandes survilloises, car on a tous un grand besoin d’espérer en des jours meilleurs!
Regardez bien la photo, la hauteur de la barriére est de 1 métre dans les rue des chesnois aussi.
Maintenant allez voir celles de la rue du clos dion et celles de la cour montaine face à cette photo barriére à 2 métres
Est-ce une différence de couche sociale ?
La verdure ce sont des mauvaises herbes qui poussent encore une différence, quand on voit de la bonne herbe qui pousse à la place des boulains et pourquoi pas au parc des noues, il y a toujours des différences de couches sociales.
Anonyme vous semblez ne pas connaître grand chose en jardinage : certes, une jolie pelouse est plus jolie à regarder, mais avant d’obtenir une herbe régulière et exempte de mauvaises herbes, il faut laisser celles-ci pousser (le cas présent) avant de semer les graines de gazon : la terre où pousse cette herbe décriée est une terre d’apport où les graines de mauvaises herbes sont nombreuses et peuvent garder leur pouvoir de germination sur plusieurs années : alors, avant d’ensemencer, on laisse croître ces indésirables, que l’on détruira avant de prévoir une belle pelouse. Le grand malheur dans l’histoire, ce ne sont pas ces affreuses végétations, mais le fait qu’un tel projet ait été retenu car lorsque la belle herbe aura poussé, sera-t’elle respectée, entretenue correctement ?
Je suis d’ la mauvaise herbe braves gens, braves gens, c’ est pas moi qu’ on rumine et c’ est pas moi qu’on met en gerbes……
Disait Georges Brassens
Tres finement observé ! Ou va se nicher la differenciation des classes sociales ! Au 19 eme sieccle c’etait à la decoration des facades des immeubles, aujourd’hui c’est peut être à la hauteur des barrières !!
On appelle ça la barrière sociale