Marions-le !
Vous, je ne sais pas, mais moi, si.
Je trouve qu’il est des questions à la fois fondamentales et on ne peut plus légitimes.
Quand on est porte-parole-député-maire-ump, peut-on rester insensible au drame que vient de vivre votre patron, peut-on ignorer ce coup de tonnerre qui a fait trembler l’hexagone, peut-on rester de marbre face à cette tragédie qui a presque fait vaciller la République ?
Non, bien sûr que non !
Et si ce n’est pas l’alexandrin qui saura décrire l’ampleur de cette tragédie, qui le pourra ?
Je vous le demande un peu !
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C’était un vil lundi, c’était un jour funèbre
Un jour à en finir, à se jeter dans l’Ebre.
Vous les Dieux ingrats, c’était plus fort que vous,
Vous deviez les fâcher, ces deux tendres époux !
Il fait pâle figure, le problème de la Corse,
A côté du terrible présidentiel divorce.
Il ne sera pas dit qu’au bord du précipice,
Je n’irais pas l’aider, proposer mes offices !
Pouvais-je ne rien faire, me croiser les bras,
Dès lors que se morfond le triste Nicolas ?
Plutôt que de crier un féroce hallali,
Je vous le dis tout cru, il faut chauffer son lit.
Bien sûr on doit trouver une belle remplaçante
Et je partis chercher la neuve Présidente.
Moi qui, vous le savez, notre grand homme encense,
J’allais effectuer des démarches en ce sens.
J’ai su où le trouver, ce joli petit lot :
Au ministère des Sports : Roseline Bachelot !
Mais renseignements pris, et cela me transporte,
La ministre a des vues sur le chauve Laporte.
Fascinée par cet homme, elle espère pour de bon,
S’en payer une belle, de tranche de jambon !
J’avais aussi pensé contacter Rachida,
Notre Garde des Sceaux, après tout, pourquoi pas ?
Ils auraient convolé, après moult sérénades,
Et nous auraient sauvés de l’horrible panade.
Mais à y réfléchir, elle est prise, la belle brune,
Et donc, par conséquent, elle compte pour des prunes…
Alors, aux grands moyens il fallait recourir,
Au diable l’avarice, nous devions en sortir !
C’est alors, (quel génie !…), que j’eus la bonne idée :
C’est cette candidate qu’il fallait décider.
Avec elle, j’en suis sûr, pas besoin d’ADN,
J’ai pensé demander sa main à Ségolène…
Rien à faire… Patatras… Il faut que j’le confesse,
Mieux aurait valu m’occuper de mes fesses…
Not’ président me dit : « Cette passionnaria ?
Ce serait retomber d’Charybde en Cécilia ! »
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Ah ! On dira ce qu’on voudra, mais c’est bien du souci tout ça !
Que la suite des événements vous soit propice et néanmoins faste.
Votre dévoué HOU
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bonjour,
pas de commentaire particulier sur la vie privée, juste un « cela ne nous, regarde pas ! ». Je m’explique, on n’est pas aux States, nous voulons garder notre « exception française » alors continuons sur notre lancée, et laissons le privé au privé, et occupons nous de ce qui est du public.
bonne journée.
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