Bad days !
Avant post : pour plus de détails concernant le papier d’aujourd’hui, n’hésitez pas à vous plonger dans le Canard enchaîné du jour, en page 2, pour être tout à fait précis….
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l y a des jours où il vaudrait mieux ne pas se lever, quand ça veut pas, ça veut pas.
Oui, fidèles flambergiens, vous savez désormais que c’est ma crémière qui parle ainsi…
Les jours qui viennent de s’écouler ont vu infliger à notre Secrétaire d’Etat-A-l’Outre-Mer-Maire-UMP-346 leur lot de camouflets en tous genres…
La première déconvenue concerne son idée estivale de supprimer la pub sur RFO. Témoin, cette dépêche AFP :
Contenu supprimé à la demande de l’hébergeur UNBLOG.FR———-
Encore une fois, ce sont des dossiers mal ficelés qui viennent contrecarrer les projets du SEAOMMUMP-346… Et c’est le Conseil d’Etat, la plus haute juridiction administrative de France qui s’en est chargé. Excusez du peu !
Mais nous, à Montereau, on connaît….
A noter que toujours selon une autre dépêche de l’AFP, hier après-midi, « Contenu supprimé à la demande de l’hébergeur UNBLOG.FR
Faut-il rappeler ici que notre SEAOMMUMP-346 a été employé comme dir-cab’ de M. MANCEL…
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Allez ! Une autre avanie, datant de lundi, celle-ci…
Ne voilà-t’il pas que les Saint-Pierre-et-Miquelonais avaient réservé un comité d’accueil à leur SEAOMMUMP-346…
Le ministre, de dos, face aux manifestants… (Photo RFO)
Je vous le dis, quand ça va mal…. Mais retournons à l’AFP :Contenu supprimé à la demande de l’hébergeur UNBLOG.FR———-
Notre SEAOMMUMP-346 a réussi à indisposer le Saint-Pierre-et-Miquelonais, d’habitude bien paisible et plutôt placide.
Sans compter qu’il a également réussi à se brouiller avec les parlementaires de droite…
Mais ça, en Seine-et-Marne, nous aussi on connaît….
Encore un bel exploit à mettre à son crédit…
(Encore que par les temps qui courent, je ne sais pas s’il est très prudent de parler de crédit…)
Pour terminer, le vous laisse un petit lien local, où un ultra-marin quasi-septentrional revient sur « la visite d’un Yves Jégo dédaigneux [...] qui n’aura pas eu la stature du respect, son arrogance de matamore finissant par lui faire perdre une bonne part de sa crédibilité. » :
http://www.mathurin.com/spip.php?article2807
C’est encore de la belle ouvrage.
Se voir retoqué par le Conseil d’Etat n’est pas donné à tout le monde.
Bravo, M. le SEAO……….
Mais n’est-ce pas votre marque de fabrique ? Beaucoup de vos dossiers s’en vont en fumée.
Et avoir recours à M. Mancel pour déposer un amendement, ça ressemble beaucoup à un petit arrangement entre amis, ou un renvoi d’ascenseur…
Mais tout ceci est encore une fois bien instructif.
Joli pédigree le père Mancel.
Jégo qui voulait encore lécher les pompes du chef en étendant la fin de la pub à RFO, ca a encore foiré.
Je viens de laisser un commentaire chez Jégo…
Prenez vite une capture d’écran, on verra si mon post est enlevé.
Mais quand même, vous n’avez pas l’impression qu’il fait exprès de rater tout ce qu’il entreprend ?
Je fais régulièrement des captures d’écran + des PDF lorsque je vais sur son blog, car je trouve qu’il y des articles qui disparaissent un peu trop rapidement du cache de Google…
A cette époque de changement de majorité, Jean-François Mancel alors président du Conseil général est l’objet d’un rapport très sévère de la Chambre Régionale de comptes de Picardie. Une série de procédures judiciaires visent alors sa gestion du département.
En 1997, M. Mancel a fait l’objet d’une information préliminaire dans « l’affaire dites des Caddies ». Entre 1989 et 1992, sous sa présidence, il lui a été reproché d’avoir effectué des dépenses personnelles par le biais du conseil général de l’Oise. Il s’agit essentiellement d’achats par le Conseil général de denrées pour des réceptions etc, sans formalismes (pas achats de nourritures en passant par un traiteur…qui aurait délivré des factures précises) mais directement auprès de distributeur (centre commerciaux ! d’où le nom d’affaire des caddies). Cette gestion est critiquée par la Chambre régionale des comptes, car malgré la diminution des coûts que cette forme d’approvisionnement pouvait permettre, l’absence du formalisme habituel ne facilitait pas les contrôles exercés par les autorités (notamment en ce qui concerne l’utilisation précise des achats). Au titre de président du Conseil et donc responsable de celui ci, J.-F. Mancel a effectué un remboursement de celles-ci. Sa responsabilité personnelle n’étant pas engagée, l’affaire est donc classée.
En 1998 il fait l’objet d’une exclusion du RPR pour avoir accepté et encouragé des désistements réciproques avec le FN lors des élections cantonales et régionales.
Cette même année, bien que ne disposant que d’une majorité relative, il préserve son siège de président de département grâce à une coalition au sein de l’assemblée départementale.
En juillet 1998, la Chambre régionale des comptes reconnaît « comptable de fait » des comptes du Conseil général de l’Oise son président J.-F. Mancel. En appel, il est disculpé par la Cour des Comptes qui met fin à cette accusation, sur le plan judiciaire l’infraction ouverte contre lui s’achève alors par un non lieu.
Jean-François Mancel est mis en examen le 8 septembre 1998 pour « détournement de fonds publics » et « recel d’abus de biens sociaux » dans une affaire relative à des commissions sur des emprunts passés ou renégociés de 1986 à 1990 avec la société Rhoddlams de Michel Pacary, un intermédiaire financier mis en examen qui affirme avoir redistribué une partie de ses commissions, principalement au RPR. Dans cette affaire une ordonnance de non-lieu a été rendue par le juge d’instruction. M. Mancel est donc disculpé de ces poursuites.
Puis, il est reproché à M. Mancel un conflit d’intérêts entre sa position de président du conseil général attributeur de marchés à Euro-2C et son statut d’actionnaire de la chaîne de parfumeries « Séduire » dont Euro-2C était également l’un des actionnaires. Après une condamnation en première instance par le tribunal correctionnel de Beauvais (Oise), Jean-François Mancel est relaxé le 29 novembre 2001 par la cour d’appel d’Amiens. Cet arrêt est ensuite censuré par la Cour de cassation. Le 14 avril 2005, Jean-François Mancel est condamné par la 9e chambre de la cour d’appel de Paris à 18 mois de prison avec sursis, 30?000 euros d’amende et dix ans d’inéligibilité. Le 1er décembre 2005 la Cour de cassation de Paris rejette son pourvoi et confirmé les peines prononcées en appel. Ensuite, le 2 mars 2006, la Cour d’appel de Paris a annulé son inéligibilité tout en confirmant sa sa condamnation avec sursis et son amende. Jean-François Mancel a déféré l’arrêt de la Cour de Cassation devant la Cour européenne des droits de l’homme, ou le dossier est en instance mais aucune décision n’y a encore été rendue.
Oh les baffes dans la figure !
C’est un festival !
Le Seachosemachin peut-il faire encore moins bien, avec un peu d’application ?
Je croyais que Jégo avait travaillé pour Dugoin…??