Sous les parpaings, la plage ?
n cette triste vallée de larmes, qu’il est agréable pour le chroniqueur du souvent maussade quotidien de constater qu’il est lu, écouté, et peut-être même entendu !
Et je voudrais remercier ici le fier et assidu préposé municipal chargé tous les matins de jeter un coup d’oeil sur ce modeste espace numérique. On le force, on l’oblige ! Oui, ce fonctionnaire territorial consciencieux ne laisse rien passer.
Un peu comme feu le très regretté Maître CAPELLO qui ne laissait passer aucun néologisme de bon aloi… (On l’appelait d’ailleurs le bon St Aloi…)
J’en veux pour preuve, et ce sera notre rubrique « sur le vif » de ce premier samedi des vacances de Noël, j’en veux pour preuve le mur en parpaings de Mme Boutin.
On se souvient qu’une fois inauguré en grande pompe, cet ouvrage architectural somme toute assez rudimentaire était resté relativement à l’abandon, pour passer une semaine entière en mauvaise posture, suite à une démolition à la fois sauvage et prématurée.
(Photo publiée samedi 13 décembre dernier.)
Et bien, lundi dernier, le 15 décembre, donc, dès la première heure, les pierres, première et autres, celles qui furent dégommées sans pitié, ces pierres-là étaient purement et simplement enlevées.
Parfaitement. Et ce, grâce au fonctionnaire territorial sus-nommé qui n’avait pas manqué d’alerter ses confrères des services techniques municipaux qui durent obtempérer.
C’est à ce genre de petit détail que l’on se sent utile, parfois…
Mais comme c’est un samedi de courses en tous genres, je me dépêche de conclure en rappelant la célèbre maxime quasi biblique qui suit. (En ces temps de Noël, il est bon qu’un peu de spiritualité vienne émailler les papiers bloguistiques…)
« Que celui qui ne s’est jamais dépêché lui lance le premier parpaing ! »
A demain pour les rumeurs, et la photo.
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Il vaut mieux poser la première pierre que la lancer, donc…
Il a oublié de faire passer la balayeuse ?
Les feuilles mortes ne se ramassent plus à la pelle…
Mr hou n’avait parlé que des parpaings. Bètes et disciplinés ils ont éxécuté ce qu’il leur a été demander surement à la lettre.
Il est vrai que vous n’aviez pas parlé des feuilles mortes.
Je connais la plupart des employés municipaux…
Ils sont tout sauf bêtes, mais oui, ils ont disciplinés.
Ils font exactement ce que leur demandent les cadres nommés par les élus, les cadres aux ordres.
Et ils ont bien raison : pas moins, mais surtout pas plus !
On demande d’enlever les parpaings ?
On enlève les parpaings.
Tu es Yves J… et sur cette pierre tu ne bâtiras pas tes maisons
Donnez-moi un parpaing, je construirai un empire !