Rumeurs pétrolières
Avant Post !
ne dépêche de l’Agence France Presse tombée aujourd’hui à 14h15.Contenu supprimé à la demande de l’hébergeur UNBLOG.FR
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a crise en Guadeloupe, désormais exportée en Martinique, les stations services fermées, les pompes à sec, les réservoirs vides, les voitures immobilisées, c’est évidemment cette actualité-là qui a suscité son cortège de rumeurs en tous genres, et ce, des deux côtés de l’Atlantique, il faut bien le dire.
Bon, je ne me fais guère de soucis, comme chaque semaine, vous saurez démêler le faux du faux.
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Notre Secrétaire-d’Etat-A-l’Outre-Mer-Maire-UMP-346-1, pour annoncer ses difficultés à faire rouvrir les stations-services de l’île, aurait fait envoyer des faire-part de l’essence.
Rumeur, pas rumeur ?
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Pour calmer la colère des îliens demandeurs de carburant, notre Secrétaire-d’Etat-A-l’Outre-Mer-Maire-UMP-346-1 aurait exigé dans un premier temps que RFO Guadeloupe diffusât en boucle le dernier album de Didier Super.
Rumeur, pas rumeur ?
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Notre Secrétaire-d’Etat-A-l’Outre-Mer-Maire-UMP-346-1, un peu désespéré par tant de stations-services fermées aurait décidé d’investir dans un petit pied-à-terre breton : Ker-Ozaine.
Rumeur, pas rumeur ?
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Ce serait en fait en lavant le pare-brise des voitures appartenant aux mécontents dans les dépôts d’essence que notre Secrétaire-d’Etat-A-l’Outre-Mer-Maire-UMP-346-1 aurait perdu cinq kilos.
Rumeur, pas rumeur ?
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Notre Secrétaire-d’Etat-A-l’Outre-Mer-Maire-UMP-346-1, à l’instar de son vieil ami Roger Karoutchi, aurait lui aussi décidé de faire son coming-out : désormais, il ne prendra plus lors de ses visites ultra-marines que du super 98 à la place du super 95.
Rumeur, pas rumeur ?
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La façon qu’a eue notre Secrétaire-d’Etat-A-l’Outre-Mer-Maire-UMP-346-1 de s’y prendre pour régler cette crise à la pompe n’aurait pas enthousiasmé les fiouls.
Rumeur, pas rumeur ?
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Je n’ai pas besoin de vous préciser qu’une nouvelle fois, tout ceci était relativement aisé à décortiquer.
Mais passons aux choses sérieuses. Voici la photo du jour !
A vous de faire !
A demain !
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Fissures et pédagogie
Avant Post !
n extrait brut d’une dépêche de l’Agence France Presse tombée aujourd’hui à 14h52.Contenu supprimé à la demande de l’hébergeur UNBLOG.FR
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Fissures et pédagogie
ujourd’hui, deux « Sur le vif » pour le prix d’un. Non, non, ça me fait plaisir.
Tout d’abord un petit retour en arrière sur la première soirée organisée par le Conseil général de Seine-et-Marne.
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Ah ! Comme on aimerait voir un budget municipal monterelais décortiqué avec autant de rigueur et de pédagogie que celles déployées par MM. Turba et Eblé !
Ah ! Comme on aimerait qu’autant de transparence règnât à Montereau !
A quand un tel exercice, Monsieur notre Secrétaire-d’Etat-A-l’Outre-Mer-Maire-UMP-346-1 ?
Votre Directeur de Cabinet, présent ce soir-là avec une « maigre poignée de supporteurs » (je cite le Parisien), celui-là qui m’a amené de nouveaux flambergiens, qu’il soit à nouveau remercié, votre Dir’ Cab’ pourra vous raconter comment faire et comment s’y prendre.
Pendant que j’y suis, je vous rappelle la pétition à signer, sur le côté (gauche…) de ce blog : l’Etat doit 75 millions d’euros aux Seine-et-Marnais.
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Second « sur le vif » de la semaine.
Une étrange malédiction pèserait-elle sur le chantier des maisons à 100 000 euros devenu le chantier des maisons à 15 euros par jour ?
Les travaux ont démarré, comme le prouve cette photo prise hier.
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Vous allez voir comme le monde est mal fait, tout de même.
Alors qu’une dameuse réalisait une voie d’accès, des fissures sont apparues tout à fait par hasard sur le bâtiment municipal mitoyen.
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Fatalitas !
A demain. Rumeurs et photo. Comme d’hab’ !
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Surville : retour vers le futur (11)
Avant Post !
Actualité du Réseau Education Sans Frontières
Samedi 7 février 2009
Un rassemblement organisé par RESF 77 est prévu à Melun, Place St Jean, à 10h30.
Pour demander la fermeture des Centres de Rétention Administrative.
A quelques kilomètres de chez nous, en Seine-et-Marne, au bord des pistes de l’aéroport Roissy Charles de Gaulle, il existe une « prison pour étrangers » : c’est le Centre de Rétention Administrative du Mesnil-Amelot (CRA).
Les centres de rétention sont la dernière étape avant l’expulsion !
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Vendredi 13 février 2009
Montereau, local de la CFDT, Parking de l’ancienne gendarmerie, 18h00.
Réunion d’information/formation aux procédures d’aide et d’intervention RESF.
Intervenante : Hélène LIPIETZ, avocate, Conseillère régionale, .
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Surville : retour vers le futur (11)
Mathieu PERCHEMINIER nous fait une nouvelle fois remonter le temps. A partir du milieu des années 1970, de grosses difficultés économiques et des données sociologiques incontournables vont aboutir à une véritable stigmatisation de Surville.
Le départ des classes moyennes et la précarisation de Surville
(épisode 10)
« Il faut stopper le phénomène d’appauvrissement qui gagne Surville (…) le rééquilibrage social de la cité est un besoin. Il faut faire en sorte que les familles de toutes compositions sociales puissent vivre en bon voisinage ! » [1]
En 1972, les origines géographiques des habitants de Surville sont relativement variées : 54,2% viennent de Seine-et-Marne (dont 27 % de Montereau), 30 % du Bassin Parisien (Paris, banlieue, Yonne), 13,1 % du reste du territoire français, 10 % de l’étranger (dont 2 % du Portugal, 2 % d’Algérie et du Maroc, 4 % sont des rapatriés)[2].Tout au long de la décennie 1970, la composition sociale de Surville évolue considérablement, comme dans la plupart des ZUP françaises. La combinaison de plusieurs facteurs explique cela…
Au milieu des années 1970, considérant que la crise du logement est résolue, l’Etat engage un processus visant à réduire l’aide publique en faveur du logement social et privilégie les aides individuelles facilitant l’investissement dans l’immobilier, notamment l’accession à la propriété pour les classes moyennes.
L’Etat recentre ses apports sur une aide unique remplaçant à la fois les anciennes aides à la pierre et l’allocation logement. L’Aide Personnalisée au Logement (APL) est créée le 3 janvier 1977 et consiste à accorder un soutien financier en fonction de la situation familiale et sociale.
Si elles permettent à certains ménages populaires d’accéder à la propriété, ces réformes laissent de côté les plus précaires. La politique d’austérité économique, en vigueur sous Giscard d’Estaing, est ressentie durement chez les locataires de logements sociaux. Parallèlement, la réputation des grands ensembles se dégrade rapidement… Les mécanismes producteurs de pauvreté se conjuguent à ceux qui déprécient l’habitat (localisation excentrée, faiblesse des équipements, mauvaise desserte,…).
A Montereau comme dans nombre de communes, l’office HLM connait d’énormes difficultés. Selon les élus municipaux siégeant à l’office monterelais, « tout est fait pour que se détériore le parc des logements sociaux et que s’accentue la ségrégation sociale »[3]. Leur tentative de limiter la hausse des loyers à 5 % lors du Conseil d’Administration en janvier 1980 (vote unanime du budget) a été vaine : par une lettre datée du 3 mars 1980, le Sous-Préfet signifiait que ce budget était refusé. Il fallait obligatoirement accepter les hausses de charges et loyers.
« Avec le conventionnement, ce serait l’accélération des départs de Surville de locataires aux revenus moyens qui paieraient des loyers trop élevés (…) Ce serait l’accélération de phénomènes d’appauvrissement de Surville.»[4]
En juillet 1984, Claude Eymard-Duvernay, qui succède à José Alvares en 1983, confirme la tendance observée dès la fin des années 1970 :
« Ces loyers augmentent pour certains dans des proportions importantes et brusquement. C’est malheureusement la conséquence de mesures administratives qu’il faut appliquer du jour au lendemain pour obtenir en contrepartie l’APL »[5].
Alors, pourquoi rester dans les appartements survillois lorsque l’on peut s’offrir un pavillon ? Les « surloyers » ont poussé les classes moyennes au départ. L’évolution de la population communale confirme cette observation : entre 1975 et 1982, Montereau entre dans la catégorie des villes repoussoirs qui perdent entre 1 et 2 % de leurs habitants[6].
Ce sont de véritables « vagues de classes moyennes » qui sont partis vivre dans les villages alentours que sont Marolles-sur-Seine, La Grande Paroisse, Cannes-Ecluse, Ville-Saint-Jacques, ou dans l’Yonne, Courlon-sur-Yonne, Champigny-sur-Yonne, Villeneuve-la-Guyard,[7]… désertant de fait le grand ensemble survillois. Entre 1982 et 1990, le quartier de Surville perd un millier d’habitants, passant de 11.718 à 10.743[8].
Les mesures en faveur du regroupement familial prennent effet en 1975[9] sous l’impulsion de Paul Dijoud (secrétaire d’Etat à l’Immigration), afin de « compenser » la fermeture des frontières. Elles entraînent une modification notable de la nature de l’immigration, qui était jusqu’à cette date majoritairement le fait d’hommes seuls (travailleurs ouvriers peu qualifiés), et une augmentation de la proportion des populations d’origine immigrée dans les cités. A Surville, elles s’installent souvent dans les logements laissés vacants par les classes moyennes ayant quitté le quartier. Le regroupement familial engendre une revendication de pleine citoyenneté. Auparavant économique, l’approche de l’immigration devient alors politico-culturelle. La précarisation des Survillois s’accélère, l’intégration se complexifie avec le développement du rejet et de l’isolement. La densité de population dans la ZUP est très élevée. En 1981, plus de 200 familles vivent en état de surpeuplement. De plus, le chômage continue de croitre…
Dans l’imaginaire collectif, tout au long des années 1980, Surville apparait progressivement comme un « quartier étranger », regardé d’un œil méfiant depuis la ville basse. Les médias contribuent largement à la stigmatisation des populations d’origine immigrée. En l’espace d’une semaine de juin 1982, la République de Seine-et-Marne relate par deux fois une rumeur galopant à Montereau : Surville serait sur le point d’accueillir une nouvelle vague massive de travailleurs immigrés. Obligeant la municipalité à publier un communiqué officiel dans la presse afin de démentir cette information infondée, elle traduit quand même un certain état d’esprit minoritaire mais grandissant au sein de commune (en ville basse essentiellement) : « Ces propos malveillants et mensongers, dont nous connaissons les auteurs, ont pour objet de semer l’inquiétude parmi la population, et sont de nature raciste, ils déshonorent ceux qui les colportent »[10].
Destinée à calmer les esprits monterelais dont l’agitation était illégitime, cette mise au point s’est avérée insuffisante, puisque José Alvarez se voit dans l’obligation de réitérer une semaine plus tard, dans le même quotidien régional. Il n’est effectivement pas facile d’arrêter un bruit qui court, surtout quand ceux qui en sont les initiateurs mettent tout en œuvre afin de le perpétuer et de le faire progresser…
« On veut faire croire que je me désintéresse de la situation de l’immigration. Or, c’est le contraire. S’il nous paraît impensable de faire venir de nombreux immigrés à Montereau, nous ne pensons pas non plus à faire partir ceux qui y vivent. J’ai d’ailleurs évoqué cette question avec le préfet de région »[11].
Les médias nationaux grand public ne sont pas en reste, et se font le relais des thèses populistes : Michel Poniatowski, dans le Figaro du 20 juin 1991, écrit : « La population immigrée est hautement criminogène », et trois jours plus tard, sur Europe 1, il compare la situation de l’immigration à l’invasion allemande, parle d’ « humiliation » !
Le processus aboutissant à ce que Christian Bachmann qualifie « désastre identitaire » s’est mis à l’œuvre dans la seconde moitié de la décennie 1970. S’est développée simultanément la nostalgie d’un âge d’or mythique des cités, à une époque où, dans l’imaginaire, tout le monde s’entendait, où la solidarité avait encore cours. Un élément capital est la disparition progressive d’encadrement des classes populaires, et des repères politiques traditionnels. Alors que le Parti Communiste et les syndicats constituaient les structures traditionnelles dans lesquelles se reconnaissaient les travailleurs et auxquelles ils adhéraient, le discrédit croissant du PCF au sein de la société française qui s’est mis à l’œuvre à partir des années 1970 et la tertiarisation du pays ont provoqué un vide notable et l’effondrement de la conscience de classe. Un cadre structurant majeur s’affaisse. Les immigrés, dont l’intégration s’était jusqu’alors réalisée en grande partie par ce biais[12], subissent de plein fouet cette érosion.
« Les Français des cités s’en prenaient aux riches ; maintenant ils les envient. Les Français des cités avaient de farouches protecteurs, comme le parti communiste ou une gauche populiste. Ils n’adhéraient pas à toutes les politicailleries qu’on leur déversait, mais ils se savaient défendus. Maintenant, ils sont abandonnés »[13].
Pour les plus défavorisés vivant dans les cités, plus le temps passe, plus les barreaux de l’échelle sociale sont difficiles à gravir. Montereau, touché très précocement par le chômage, n’échappe pas à la conjoncture nationale consécutive au choc pétrolier. Le taux de chômage explose. Surville fait et défait les majorités municipales. L’alternance politique entre 1971 et 1995 témoigne de l’impatience des populations, et de l’impuissance des dirigeants à régler leurs problèmes :
« Les Monterelais ont pris un coup de sang. »[14]
Parallèlement, la thèse raciste de « l’inassimilable communauté »[15] se répand. Opposant les communautés immigrées qui seraient animées d’une profonde volonté d’intégration (Portugais, Asiatiques,…) aux Africains (Maghrébins inclus) responsables de tous les maux banlieusards, les défenseurs de ce courant de pensée internationalisent le problème et le déplacent sur un terrain très sensible, contribuant toujours plus à stigmatiser les populations d’origine étrangère qui se sent stigmatisée, non désirée, exclue.
En 1982, Montereau fait partie des villes françaises comptant plus de 44 % de population active dans l’industrie, à l’instar de Mantes-la-Jolie, Le Creusot, ou certaines villes du Nord et de l’Est de la France. Quant au niveau de formation des habitants, Montereau se trouve dans la catégorie où le niveau de diplômes surreprésentés est « sans diplôme et CAP »[16].
Comme nous le verrons, les politiques d’intégration et d’insertion professionnelle vont se dessiner dans le cadre des dispositifs contractuels de la politique de la ville, même si les contractants ne maitrisent qu’une partie des outils concourant à leur fabrication.
Mathieu PERCHEMINIER
Chargé de mission en développement social
[1] Ville de Montereau, Bulletin municipal, Quel avenir pour notre ville ? , Juin 1982.
[2] André Lesourd, Desserrement industriel et croissance urbaine à Montereau, Mémoire de maîtrise de géographie, Paris, 1972.
[3] Les élus municipaux de l’office HLM de Montereau, OPHLM : non à la hausse des loyers et des charges imposées par le Sous-Préfet ! , dans le Bulletin municipale de la ville de Montereau, Faisons le point à la mi-mandat, Juin 1980.
[4] Bulletin municipal, Avec la municipalité, exigez le déblocage des crédits pour Surville, refusez le conventionnement, numéro spécial janvier 1981.
[5] La Lettre du Maire (supplément du Bulletin municipal), Juillet 1984.
[6] Denise Pumain et Thérèse Saint Julien, Atlas des villes de France, La Documentation française, collection Dynamiques du territoire, Paris, 1989, p. 29.
[7] En règle générale, les villages (ou petites villes) où ont été construits des lotissements pavillonnaires.
[8] DSQ Surville, Diagnostic urbain et social et propositions, avril 1994.
[9] La loi mettant sur pied le regroupement familial date de 1974.
[10] Extrait du communiqué officiel de la municipalité tiré de La République de Seine-et-Marne, « Pas d’arrivée massive de travailleurs immigrés à Montereau », déclare la municipalité, 31/05/1982.
[11] José Alvarez dans La République de Seine-et-Marne, IMMIGRATION, pas de ghettos mais une forte concentration à Surville, 07/06/1982.
[12] Notamment les immigrés italiens et polonais.
[13] Christian Bachmann et Nicole Le Guennec, Violences urbaines. Ascension et chute des classes moyennes à travers 150 ans de politique de la ville, Hachette, Pluriel, Paris, 2002, p.406.
[14] Alain Peyrefitte, Le mal français, Plon, 1976, Paris, p.225.
[15] Cette expression désigne chez Azouz Begag et Christian Delorme la communauté maghrébine (Quartiers sensibles, Seuil, Paris, 1994) Max Clos, journaliste au Figaro, est de ceux qui soutiennent cette thèse. Voir son article Qui embrase les banlieues ? daté du 17 octobre 1990.
[16] Denise Pumain et Thérèse Saint Julien, Atlas des villes de France, La Documentation française, collection Dynamiques du territoire, Paris, 1989, pp.61 et 105.
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Indiana Jegones, les aventuriers de la marche perdue
Indiana Jegones,
les aventuriers de la marche perdue
ous, je ne sais pas, mais moi si.
Je me souviens bien qu’il y a quelques mois, quelques cinéastes et écrivains, et pas des moindres (George Lucas, F.F. Coppola, les frères Wachowski, Peter Jackson, J.K. Rowling), m’avaient demandé de les aider en leur fournissant un scénario. Bien entendu, j’avais accepté de leur donner ce modeste coup de pouce, mais pour tout vous dire, je pensais bien que j’en resterais là.
Or hier, stupéfaction ! Dans ma boîte mail, ce courriel tout à fait inattendu :
« Hi, Mister HOU. I’m Steven Spielberg. Could you help me ? George said to me you wrote for him a new sreenplay. Please, I beg you too a new script ! Thanks a lot ! When you are in Los Angeles, I hope you’ll come at home. Kate will be very happy ! See you soon ! »
Moi, vous me connaissez, quand je peux rendre service à mon prochain, surtout si ce prochain se nomme Steven Spielberg, je ne rechigne pas à la besogne.
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Indiana Jegones, les aventuriers de la marche perdue
La lumière vacillante des torches dessinait sur les murs de l’ancien temple aztèco-huhèmepien de Sarkotihuacan des ombres inquiétantes. On aurait dit les silhouettes de guerriers hideux et faméliques revenus des ténèbres afin de punir les deux profanateurs de sépultures.
Les deux hommes, tous leurs sens en émoi, avaient du mal à embraser du regard la totalité de l’immense salle souterraine dans laquelle ils venaient de déboucher.
Vêtu d’une veste de cuir usée, son éternel chapeau vissé sur la tête, un grand fouet dans les mains, Indiana Jegones, car c’était bien lui, Indiana Jegones mit en garde son compagnon.
« Fais attention, Marcus Brolbouy ! Cette salle est pleine de pièges et de chausse-trappes. L’ancienne civilisation huhèmepienne était d’une férocité inégalée. Sais-tu que les huhèmepiens sacrifiaient sur l’autel de ce temple les candidats malheureux qui avaient échoué à obtenir une quelconque investiture au pouvoir régional, et ce, en l’honneur de leur terrible dieu Hapar-Hatchic ? Ils les revêtaient d’ornements en forme de grenouille et leur arrachaient le coeur.
Il va falloir être très prudent pour accéder jusqu’à la dernière des 346 marches du grand escalier au fond de ce sanctuaire, cette dernière marche qui me permettra de me rapprocher de l’esprit sacré de Xavierbertranlcoatl. »
En effet, en plissant les yeux, Marcus Brolbouy put apercevoir tout en haut du gigantesque escalier, une sorte de statuette, un artefact qui semblait posséder sa propre source de lumière et irradier sa stèle.
« Ca y est, Professeur Jegones, je le vois ! Je distingue l’esprit sacré de Xavierbertranlcoatl. Si nous arrivons à temps, vous obtiendrez ce poste au secrétariat du département huhèmepien de notre université. »
Ce faisant, Marcus Brolbouy allait poser son pied sur une sorte de grande dalle, mais Indiana Jegones le retint à temps.
Il fit siffler son fouet et en donna un grand coup sur la dalle qui s’enfonça doucement. Soudain, des dizaines de flèches furent automatiquement décochées par cette simple pression. Inutile de préciser que ces dards mortels étaient enduits de moranite, de lefèbvrine, de karoutchine, de balkanite aigüe, ou encore de pécressite foudroyante, ces poisons huhèmepiens violents et fatals.
« Ca y est, la voie est libre. Qu’est-ce que je t’avais dit à propos de la civilisation huhèmepienne ? Allez maintenant, nous pouvons grimper les marches… »
Arrivés pratiquement à l’extrémité de l’escalier, Indiana Jegones suivi d’un Marcus Brolbouy encore tout flageolant et tout en sueur, s’arrêta subitement devant la dernière marche.
Un craquement sinistre se fit entendre. « Crrrrrrrrrrrrrrrrraaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaac ! »
(C’était le craquement sinistre… Ca rend bien, non ? Je vous le repasse :
« Crrrrrrrrrrrrrrrrraaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaac ! »)
Mû par un mécanisme caché, le dernier degré commença à s’affaisser. Puis, tout s’enchaîna rapidement. Dans un vacarme assourdissant, au milieu des blocs de pierre, de débris, de poussières, les deux archéologues tombèrent dans un caveau tout noir. Des ossements d’anciens candidats huhèmepiens eux aussi malheureux amortirent leur chute.
Indiana Jégones commençait à comprendre. Sa torche se mit à faiblir, quand soudain, il put distinguer une inscription sur le mur :
« Professeur Jones, c’est moi qui serai secrétaire au conseil du département huhèmepien. Vous, vous croupirez dans ce cachot pour longtemps encore.
Signé: Professeur Chris Jacob. »
Oui, décidément, comme dans les aventures de la 7ème compagnie, pour Indiana Jégones, il allait falloir rester croupir…
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Bon, Steven, si ça manque de créatures huhèmepiennes, n’hésite pas à me le faire savoir. J’en ai encore plein en stock. Mes amitiés à Kate.
Que la suite des événements vous soit propice et néanmoins faste.
Votre dévoué HOU.
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Metropolitan Museum of Art
Ornements en forme de grenouille
Les Aztèques
Anonyme
du XVème au XVIème siècle
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Au suivant !
e me souviens, lors de mon compte-rendu du dernier Conseil municipal, je me souviens vous avoir informé de la démission d’un Conseiller municipal, le Docteur Guy SETBON.
(Je me suis laissé dire que socialement, certaines prises de décisions l’avaient laissé perplexe…. Pour plus de précisions, vous irez directement lui demander… C’est vrai, je ne vais quand même pas vous mâcher tout le boulot.)
Quoi qu’il en soit, ce fut M. Robert ONOFRIO, ancien patron du Conservatoire Gaston-LITAIZE, qui siégea lors de la dernière assemblée communale en date.
Allez savoir pourquoi, un sentiment diffus de doute m’assaillit ce soir là. Mais je dois vous avouer que je ne sus pas trop dire pourquoi.
Et puis, pas plus tard qu’hier, la liste conduite par notre Secrétaire-d’Etat-A-l’Outre-Mer-Maire-UMP-346-1 me revint en tête.
Et à vous également, elle va vous revenir en tête, puis que je m’en vais vous la recopier maintenant :
Je vous laisse le temps de la relire, en sachant que bien entendu, il faut parcourir chaque colonne de haut en bas.
Rien ne vous étonne ?
Ah ! Enfin, je sens que l’émotion vous étreint !
Logiquement, et si je me souviens bien des excellents cours d’instruction civique de Melle Lecointe, au Collège Malraux, le successeur du Dr SETBON n’était pas M. ONOFRIO, mais la rappeuse Ibtisame BENGHANEM. (Le dernier élu pour la liste de notre édilanous étant M.Ludovic PEREIRA.)
(Je vous conseille également à ce propos si vous ne savez pas quoi faire aujourd’hui, la saine et instructive lecture du célèbre Article L270 du code électoral, modifié par la non-moins célèbre Ordonnance n°2003-1165 du 8 décembre 2003 – art. 26 JORF 9 décembre 2003. Ca manque un peu de personnages, mais c’est quand même très intéressant.)
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J’avais d’ailleurs consacré en son temps un papier où j’expliquais pourquoi mathématiquement parlant, il serait très difficile pour Ibtisame d’être élue.
Donc, point de rappeuse au Conseil municipal. En lieu et place, c’est un autre talentueux musicien, Robert ONOFRIO, qui siège.
Comment est-ce possible ? Allez donc savoir… Qui pourrait le dire ?
Ce qui est certain, c’est que notre édilanous vient de consacrer sur son blog un très bel article à Ibtisame BENGHANEM.
Ce qui est également certain, c’est qu’Ibtisame BENGHANEM vient d’être embauchée comme animatrice municipale pour l’accueil péri-scolaire, à l’école Pierre-et-Marie-Curie.
On verra par là que le hasard monterelais, cette célèbre spécialité locale, vient encore de frapper !
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Pendant que j’y suis, je ne résiste pas au plaisir de vous recopier le début de l’article du Parisien paru hier, et consacré justement à ce dernier conseil municipal.
« Montereau Fault Yonne
Le débat budgétaire expédié
Il est connu que les séances du conseil municipal de Montereau comptent parmi les plus rapides qui existent.
La preuve en est, à nouveau, avec un débat d’orientation budgétaire, expédié lundi dernier en un petit quart d’heure. »
Pas mieux !
A demain ! Ne manquez pas « Indiana Jégones, les aventuriers de la marche perdue » !
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M.A.S.H.
ujourd’hui, dans un premier temps, je m’en vais vous livrer une dépêche de l’Agence France Presse qui n’a pas été sans faire plaisir non pas aux Monterelais, mais bien aux Bellifontains.Contenu supprimé à la demande de l’hébergeur UNBLOG.FR
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Depuis deux ans, l’hôpital de Fontainebleau planche sur un projet de réorganisation qui vient donc de trouver un financement d’Etat : le dossier a été accepté.
Seulement voilà, depuis beaucoup plus longtemps, depuis au moins quatre années, le centre hospitalier de Melun est engagé dans la même démarche.
Le terrain a été acheté, mais ça bloque ! Déjà trois projets ont été envoyés sans résultat pour le moment.
A Melun, on s’inquiète vivement, et on se demande si le chef-lieu de la Seine-et-Marne figurera un jour dans la liste, sachant que :
- le bassin de population de Melun est plus important que celui de Fontainebleau
- cette préfecture n’est située qu’à un quart d’heure de route de la cité bellifontaine.
Comment expliquer que ce qui est possible pour Fontainebleau, ne le soit toujours pas pour Melun ?
A votre avis ?
Là encore, on peut mesurer l’influence actuelle de notre Secrétaire-d’Etat-A-l’Outre-Mer-Maire-UMP-346-1, qui, souvenons-nous, était et reste encore un peu beaucoup, si l’on en croit le blog ump de la 3ème circonscription, le député de Melun-Nord.
Didier JULIA, le député de Fontainebleau, aurait-il plus d »influence que notre SEAOMMUMP-346-1 pour pousser un dossier de cette importance à son terme ?
A moins que ce ne soit la première manifestation de l’influence visible des deux hommes forts umpiens du département, à savoir Jean-François COPE, à Meaux, et Christian JACOB, à Provins, dont le maire bellifontain Frédéric VALLETOUX est proche…
Faut-il rappeler ici que Christian JACOB est rentré dans l’état-major de l’UMP, comme Conseiller politique, alors que notre Sarkozyste historique à nous est resté dehors, et en est réduit à vouloir rassembler largement « en dehors de l’UMP » ?
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Après-post !
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Débat d’Orientation Budgétaire (DOB) 2009 : la droite fuit le débat !
Lors de la séance publique du 30 janvier, le groupe UMP a quitté la salle au moment du débat d’orientation budgétaire, au prétexte que le Président Éblé et la majorité départementale, fidèles à la démarche de démocratie participative, souhaitaient associer les Seine-et-Marnais à la préparation du budget 2009 au cours de 5 réunions publiques organisées sur tout le territoire.
Ce refus du débat est symptomatique du déni de démocratie dont font preuve les élus de droite. Ainsi, refusent-ils de défendre en public, les chiffres fallacieux et mensongers qu’ils avancent. Ils sont bien plus à l’aise, arpentant le département en compagnie de ministres et de députés en exercice. Lorsqu’il s’agit pour eux d’expliquer les choses clairement et droit dans les yeux de nos concitoyens, ils fuient !
Cette attitude est lamentable. Les élus de la majorité de gauche sauront faire entendre la réalité budgétaire du Département, au cours de ces 5 débats citoyens où ils rencontreront les Seine et marnais.
Didier Turba
Président du Groupe des élus Socialistes et Républicains de progrès
Vice-président du Conseil général, chargé des finances
Léo Aiello
Vice-Président du Groupe des élus socialistes
Conseiller général du canton de Montereau-Fault-Yonne
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Qui ne veut pas rembourser des millions ?
partir d’aujourd’hui, le Conseil Général de Seine-et-Marne lance une campagne de mobilisation sur l’ensemble du département pour demander à l’Etat le « remboursement de 75 millions d’euros » au titre de la décentralisation depuis 2004. Je cite M. Vincent EBLE, Président de l’assemblée départementale.
Une série de réunions publiques se déroulera dans les jours et semaines qui viennent, afin d’expliquer aux seine-et-marnais toute l’affaire. (Vous trouverez les dates en fin de ce papier.)
75 millions d’euros, vous en conviendrez, c’est une jolie somme…
Ce remboursement est demandé par la majorité du CG77, car en 2004, dans le cadre de la décentralisation, des compétences ont été transférées aux départements et insuffisamment compensées. Normalement, ces compétences sont couvertes par des exigences légales : un article de la Constitution précise qu’elles doivent être compensées. Et ce n’est pas le cas…
Les textes ont été conçus de telle façon qu’il est impossible pour les départements d’attaquer l’Etat.
Dans une interview accordée au magazine Le Point, Vincent EBLE détaille cette campagne de mobilisation, et surtout, insiste sur le fait que son opposition UMP, avec en tête un certain Secrétaire-d’Etat-A-l’Outre-Mer-Maire-UMP-346-1, mène campagne contre lui.
Bien entendu, notre SEAOMMUMP-346-1, comme à son habitude, ne manque pas de pousser des cris d’orfraie, et d’organiser lui aussi une réunion au cours de laquelle, bien entendu, il fustige la gestion socialiste du département, et notamment, sans rire… les dépenses de communication.
Et c’est un expert qui parle…
Un peu lassé de ces critiques partisanes et de mauvaise foi, Vincent EBLE a avancé des données chiffrées incontestables :
Sur les charges liées au RMI :
« Ainsi, lorsque l’Etat a calculé les charges relatives à la décentralisation du RMI, il a effectué son calcul sur la base du nombre d’allocataires en 2003, soit 10 137 pour la Seine-et-Marne, sans nullement prendre en compte la progression de 18 % du nombre de ces allocataires depuis 4 ans ; progression sur laquelle le Département n’a aucune prise.
Mais surtout, il a lié sa compensation à une fraction de la Taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP) qui n’est nullement corrélée à l’évolution du nombre de bénéficiaires du RMI et dont la progression, surtout ces derniers mois, a été beaucoup moins rapide que celle des dépenses correspondantes.
Même chose en ce qui concerne les routes. L’Etat nous a transféré les sommes qu’il consacrait en moyenne sur les 3 dernières années à l’entretien de ce réseau. Mais de l’avis de tous, ces sommes étaient notoirement insuffisantes, ne serait-ce que pour assurer l’entretien courant de ces voiries, souvent en piètre état.
Le résultat, c’est que le Conseil général s’est retrouvé en responsabilité de 400 kilomètres de routes supplémentaires très fréquentées et exigeant pour bien d’entre elles des aménagements de sécurité en urgence. »
Le président du Conseil général de Seine-et-Marne n’est pas le seul à râler !
Tous ses collègues, de droite comme de gauche, se plaignent de cette compensation qui n’est pas équilibrée.
Autre diatribe umpienne très en cours : le CG 77 aurait laisser filer la dette.
Là encore, dans la série « Je vois la paille dans l’oeil seine-et-marnais du voisin mais pas la poutre montrelaise dans le mien », notre recordman de l’augmentation d’impôt n’hésite pas vilipender la mauvaise gestion socialiste.
Réponse de Vincent EBLE, lors de son discours d’orientation budgétaire :
« …L’ encours de la dette par habitant a explosé non pas sous la Gauche, mais sous la droite passant de 331 € par habitant en 1992 à 775 € par habitant en 1998. Elle nous place, en effet, en bien mauvaise posture comparée aux autres départements franciliens et limite du même coup considérablement nos marges de manœuvre. Mais cet état de fait est de la responsabilité des majorités précédentes. Pourquoi ont-elles fait le choix délibéré de financer les investissements par un recours massif à l’emprunt, hypothéquant ainsi l’avenir des générations futures, plutôt que d’avoir le courage d’un recours progressif et modéré à l’impôt ?
Il faut donc bien du toupet pour nous faire la leçon à ce sujet ! «
Et ce n’est pas tout :
« Même chose pour les frais d’administration générale qui sont en Seine-et-Marne sensiblement inférieurs à la moyenne régionale et nationale avec 38,21 € par habitant contre 93,03 € par habitant en moyenne régionale et 71,20 € en moyenne nationale, soit respectivement 59 % et 46 % de moins ! Et l’on ose prétendre que cette collectivité est mal gérée ? !
J’ajoute que, contrairement aux chiffres parfaitement mensongers annoncés par voie de presse, les dépenses de « publicité, de publication et de relations publiques » ont diminué de 5,3 % sur la période 2004-2007 et non augmenté, comme le prétend l’opposition. Ces dépenses sont ainsi passées de 1 639 073 € au CA 2004 à 1 552 237 € au CA 2007.
Les seules dépenses de réception ont, sur la même période, diminué de 14 %, passant de 258 306 € en 2004 à 222 180 € en 2007. Les comptes administratifs correspondant en font foi ! «
Quant à l’emploi supposé de pléthore de fonctionnaires, Vincent EBLE remet les choses à leur place :
« La vérité, ici aussi, c’est que si les effectifs du Conseil général ont progressé ces 4 dernières années, c’est pour l’essentiel sous l’effet du simple transfert des personnels TOS ou DDE ou pour nous permettre d’assurer ces nouvelles compétences.
Ainsi, sur les 2 078 postes créés entre 2004 et 2008, 77 % correspondent au pur et simple transfert de postes issus de la décentralisation.
Sur les 23 % restants, c’est à dire 481 postes, une grosse moitié correspond à l’indispensable renforcement des fonctions support telles que les ressources humaines.
Chacun, en effet, comprend bien qu’on ne peut pas gérer à effectif constant 4 000 payes d’agents départementaux quand on en gérait moins de 2 000, 4 ans auparavant ! «
On verra donc par là que, comme d’habitude, il y a ceux qui parlent, qui s’écoutent parler, le tout sans arguments autres que leur mauvaise foi, et ceux qui sont capables d’argumenter avec des chiffres incontestables, démontrant ainsi la rigueur comptable de leur gestion.
Comme on aimerait avoir pour Montereau, des éléments aussi détaillés, aussi transparents et aussi fiables !
C’est vrai que dans notre chef-lieu de Canton, Yves Jégo en est encore à contester le dernier recensement de l’INSEE qui nous donne 16678 habitants. Lui, dans son 7 sur 7, et à la louche, il estime à environ 18000 monterelais le nombre de ses administrés.
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Je vous communique les dates des réunions de Vincent EBLE, qui commencent ce soir :
- 2 février 2009 à 20 h : Maison des Associations, 27 rue Port à Veneux-les-Sablons ,
- 3 février 2009 à 20 h : Salle Jean Eiffel, allée Pascal Dulphy à Champs-sur-Marne,
- 4 février 2009 à 20 h : Salle des Fêtes, Place du 19 mars 1962 à Trilport,
- 11 février 2009 à 20 h : Salle polyvalente, rue de Tigery à Lieusaint,
- 12 février 2009 à 20 h : Salle des Fêtes, avenue du Général de Gaulle à Fontenay Trésigny
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Rumeurs copiées-collées-pompées
ette semaine, c’est bien entendu l’annonce de M. de la Brosse, à l’Elysée, qui a engendré son flot de rumeurs et de bruits qui courent : pour arriver à ses fins électorales, Barack OBAMA aurait pompé sur notre Secrétaire-d’Etat-A-l’Outre-Mer-Maire-UMP-346-1.
C’est pourquoi, au pays de l’Oncle SAM, le bureau ovale est en ébullition. Le 44ème Président s’apprêterait à imiter de nouveau notre édilanous…
Mais vu d’ici, vous, vous ne vous y tromperez pas, et vous saurez une nouvelle fois démêler le faux du faux.
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M. Obama, voulant prendre exemple sur les trompe-l’oeil de notre Secrétaire-d’Etat-A-l’Outre-Mer-Maire-UMP-346-1, aurait décidé de faire reproduire sur la façade du Capitole une vue de la célèbre bataille de Little Big Horn, avec la mort tragique du général Custer, dans d’atroces souffrances, le 25 juin 1876.
Rumour, or not rumour ?
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M. Obama va lancer une grande opération « 100000000 days for 100000000 jobs » !
Rumour, or not rumour ?
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Bien entendu, tout comme notre Secrétaire-d’Etat-A-l’Outre-Mer-Maire-UMP-346-1 ne comptait pas les jours fériés dans son opération »1000 jours pour 1000 emplois », M. Obama, dans son challenge « 100000000 days for 100000000 jobs » ne comptera ni Thanksgivings, ni Christmas ni the Independance Day. »
Rumour, or not rumour ?
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Lors du prochain tour de France, M. Obama a demandé à Lance Armstrong d’aller espionner le Service Culturel de la Mairie de Montereau, afin de pouvoir organiser une cérémonie des « Washingtoniens de l’année. », »the Washingtonians of the year ! »
Rumour, or not rumour ?
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Le nouveau patron des Onclesamiens envisagerait de lancer en Louisiane une grande opération immobilière intitulée « The houses costing 100 000 dollars, and finally 15 dollars each day. »
Rumour, or not rumour ?
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Barack voudrait bien également pomper le concept du feu d’artifice aquatique, afin de régaler les mérous et les barracudas du côté d’Hawaï.
Rumour, or not rumour ?
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Michele Obama envisagerait de contacter notre Conseillère Municipale Déléguée à la Vie Animale afin de connaître son secret pour castrer les chats sans douleur. (To cut the great balls of fire of all the Stray Cats…)
Rumour, or not rumour ?
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It’so easy, comme chantaient the Eagles…
Pour la peine, aujourd’hui, vous aurez droit non pas à une photo, mais deux.
Un plan serré, tout d’abord, puis un cadre élargi. Mais il faut rendre à Yann ce qui est à Yann, cette photo a été publiée dans le petit journal de Canal + jeudi dernier. On m’en a gentiment fait parvenir une copie.
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A demain !
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