RediffHOUsion 36 : Le bide campeador (12/09/2008)

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090413085037390113470259n ces temps de crise, M. HOU et moi-même avons ressenti comme une espèce d’appel, un besoin de retraite spirituelle, et c’est pourquoi nous nous trouvons actuellement dans le plus reculé des monastères tibétains afin de méditer sur la tristesse de cette vallée pleine de larmes.

Donc, pendant quelques jours, et afin de ne pas trouver porte close, vous aurez droit à quelques rediffHOUsions. Et toujours pour le même prix !

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En cette fin d’été, le glas des espérances jégoïstes en matière de présidence de l’Ile-de-France sonnait…

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Le bide campeador

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dqpwvyihpaous, je ne sais pas, mais moi si !

Depuis avant hier, je n’ai qu’un mot à la bouche : Malédiction !

Mais comme le destin est cruel ! Ah ! Mais qu’il est cruel ce destin !…

Cruel, comme seul peut être cruel un destin lorsqu’il a vraiment décidé d’être cruel !

Certes, un retrait précipité est toujours délicat à négocier. (Ma crémière pourrait vous le certifier, demandez un peu à son mari…)

Mais ce retrait-là, pour notre SEAOMMUMP-346, ce retrait-là sonne comme une véritable tragédie.

Et vous le savez, à la différence des Etats-Unis, où seule la phrase “les caucus, comptez-vous !” est d’usage, ici, les héros malheureux de tragédie s’expriment en alexandrins !

Ah mais !

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Ô rage, ô désespoir, ô Pécresse ennemie !

N’ai-je donc tant vécu que pour ce Karoutchi ?

Moi qui depuis des lustres veux la place de Huchon,

Il me faut bien l’admettre, adieux veaux, vaches, cochons !

L’entreprise était rude, quelle salive perdue,

Ce combat inégal, comme j’en ai plein le c……. !

Qu’ont-ils de plus que moi, Roger et Valérie ?

N’étais-je pas du Chef la seule, unique égérie ?

“Roger et Valérie”, ça sonne presque à coup sûr,

Comme une élémentaire méthode de lecture…

J’avais tout planifié, huilé la mécanique,

Voilà que sur le fil, on me roule, on me nique !

Il me passe sous l’nez, l’hôtel de Barbet-d’Jouy,

Et j’en connais plus d’un qui se sent tout réjoui…

Je me trouvai fort seul pour mener la bataille

Mes soi-disant “copains”, tous en choeur, me mitraillent.

Geoffroy, Hyest et Mignon, tous ces parlementaires

M’ont poignardé dans l’dos, préférant l’adversaire.

Quand septembre fut venu, pas le moindre petit maire

UMP ou de droite n’a rejoint ma bannière.

Hélas, il me faut donc abandonner la lutte,

Rejoindre l’Outre-Mer, ses îles et ses cahutes.

Au lieu de me dire “Dans deux ans tu y es !’

Je dois me contenter de boudin antillais.

Sans compter qu’en hiver, il faudra, c’est réglé,

Qu’à Saint Pierre et Miquelon j’aille me les geler !

Après qu’on m’eût collé ce gigantesque pain,

Retour en Guadeloupe, chez Eric Rayapin…

Horrible Destinée, quel affreux cauchemar,

Je vais être obligé de revoir Cécile Marre !

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Que la suite des événements vous soit propice et néanmoins faste !

Votre dévoué HOU.

 

 

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