On a failli glisser dans la piscine…
ne étrange rumeur circulait la semaine dernière en ville haute, concernant le chantier de la piscine : on répétait ici et là que les travaux étaient arrêtés, et que les ouvriers ne se rendaient plus sur leur lieu de travail.
Intrigué, j’allai traîner mes guêtres lundi à proximité.
Avec mon petit appareil photo à portée de main…
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Lundi en fin de matinée, aucun ouvrier, aucune activité…
Etrange…
Retour le lendemain, même heure, même endroit.
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Encore une fois très peu d’activité, à part un camionneur qui était venu reprendre un engin de levage.
Je lui demandai s’il était au courant de la raison de ce peu d’activité :
« Oui, me répondit-il, des romanichels (sic, ndlr…) sont venus se battre avec les ouvriers qui ne veulent plus travailler…«
De plus en plus intrigué, et n’ayant pas entendu parler de guerres picrocholines sur le chantier de la piscine, je décidai en fin d’après-midi de me renseigner auprès de l’entreprise chargée du gros-oeuvre (le N° de téléphone était affiché sur la palissade…)
Une charmante dame me répondit que comme il avait beaucoup plu ces derniers temps, le sol était gorgé d’eau et personne ne pouvait travailler…
(Pour un peu, on verrait bien par là que même pour construire une piscine, l’eau, c’est pas le top !)
Mais le plus étrange restait à venir…
Bizarrement, en ayant téléphoné le mardi, le terrain allait sécher entièrement dans la nuit, puisque le mercredi matin, des ouvriers de l’entreprise en question réapparaissaient sur le chantier.
(Pour encore un peu, on verrait bien par là que certains coups de fil pourraient presque avoir quelques vertus météorologiques.)
Constatant qu’un monsieur encravaté sortait du chantier, je lui reposai la même question.
Troisième réponse, troisième explication, troisième version, la plus plausible celle-là : « Il s’agit d’un sous-traitant qui ne payait plus ses ouvriers. Ces derniers ne venaient donc plus travailler…«
Une nouvelle fois, donc, le syndrome du sous-traitant ne payant pas ses ouvriers (et par concomitance, ralentissant une construction), ce syndrome frappe Montereau…
Une autre malédiction, sans doute…
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UNITÉ CONTRE LES LICENCIEMENTS
Les sections locales du PS, du PCF, le comité Champagne Avon Nemours du NPA, le comité local de Montereau du POI appellent l’ensemble de la population, les militants syndicaux, les élus de notre région à une
RÉUNION-DÉBAT PUBLIQUE
sur l’Emploi.
Le vendredi 19 juin 20h30 Salle de l’étang à Varennes sur Seine
Nous comptons sur votre mobilisation
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C’est climat qui se dérègle. Si ça se trouve, bientôt, il faudra mettre les maçons aux intempéries au mois de juin.
On a vraiment l’impression que rien ne peut être fait sereinement chez vous.
Ce qui est étonnant, c’est le nombre de reponses differentes !Ils ont des ordres de ne pas repondre où quoi ?
Les maisons à 15 euros ont aussi été retardéés à la fin de l’hiver, une autre entreprise a repris le chantier.
Des Hors la loi déguisés en gitans ont profité du sol détrempé pour attaquer la diligence transportant la paie des ouvriers, et sont repartis en patinant en toute impunité…..John Waine, tu nous manques !
Le bain sifflera trois fois ?
Le bucolique sifflera bain 3 godets de whisky
bravo pour le titre en forme de contrepèterie !