25’49” : Ah les boules ! (Part two)
Avant Post
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Lu hier, dans l’Express…
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EX-SEAOMMUMP-346-1-SDF……. Le sigle s’allonge….
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25’49” : Ah les boules ! (Part two)
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ous, je ne sais pas, mais moi, si.
Miaouuuuuuuuuuuuuuuuu !
Aujourd’hui, c’est avec une gravité extrême, comme seules les gravités peuvent être extrêmes lorsqu’elles ont vraiment décidé d’être extrêmes, que je voudrais à nouveau m’adresser à tous les félis silvestris cati, matous, minous, greffiers, Raminagrobis, Tibert et autres Rodilardus monterelais !
Aujourd’hui, je n’ai pas le coeur à rigoler bêtement ! Oh que non !
Attention les rominets ! Ca va saigner !
Planquez vos valseuses, remisez vos coucougnettes, garez vos roubignolles !
Gare à vos balloches, gaffe à vos glaouies, attention à vos roustons !
En un mot comme en cent : alerte à mal aux boules !
On a annoncé lundi dernier, au 54 de la rue Jean-Jaurès un avis de tempête force 346 sur le système reproducteur félin !
Ce 6 juillet, à 18h16, le cours des bourses accusait une vertigineuse chute !
En effet, ce soir-là, notre Député-Maire-UMP-346-1 faisait voter une subvention exceptionnelle de 1 000 euros à « Animalement vôtre », l’association de notre célèbre CMDAVA, notre Conseillère municipale déléguée à la Vie animale.
Avec force gravité, notre édilanous annonça d’une voix quasi d’outre-me..tombe un constat terrible, une info dramatique, un scoop bougraindubourgissime : un couple de chats non-stérilisés pouvait engendrer 20 000 descendants plus ou moins directs.
Passer de la gestion de quelques millions d’ultra-marins à une comptabilité généalogique à la fois féline et monterelaise, on mesurera par là toute la problématique de ce que les médecins spécialistes des addictions en tous genres appellent « la descente »…
Mais la CMDAVA s’en moquait bien : « il ne m’en chaut guère », dut-elle assurément penser ! Elle avait une nouvelle fois décroché sa sub.
Elle ne prit pas pas part au vote, mais on ne vit pas grande différence, car à Montereau, entre un conseiller municipal qui vote et un autre qui ne vote pas, physiquement parlant, ça demande le même effort. La dépense énergétique est quasi-identique.
Sur les bancs du public, le trésorier d’Animalement vôtre pleurait presque de joie. C’était beau et émouvant à la fois.
Ah oui ! Que l’on fourbisse les bistouris, que l’on fasse bouillir les scalpels, que l’on affûte les sécateurs !
(Certes, je suis d’accord avec toi, ô Flambergien perspicace : en l’espèce, les meilleurs modèles sont les sécateurs à nouilles…)
A Montereau, on va orchidectomiser à tour de bras ! Dans la commune, on va stériliser à qui mieux-mieux.
Pas-nique sur la ville !
La chasse aux chats errants est ouverte : ira-t’on jusqu’à proposer une carte du Parti Radical gratuite à tout monterelais capturant un matou sans-papiers ?
Dans la région, va-t’on jouer à chat castré ? (On ne connaît pas bien encore la règle du jeu, tout ce que l’on sait, c’est qu’il faut courir très vite…)
Un bon alimentaire sera-t’il remis à toute personne apportant dans un bocal de formol deux petites orphelines jamais aussi bien nommées ?
Je ne sais…
En revanche, je suis persuadé que notre Conseillère municipale Déléguée à la Vie animale a dû adopter la devise de celui qui commença patron de la rose en Seine-et-Marne pour finir producteur de rouge, je veux bien sûr parler de son cinéphile époux.
Une devise qui tient en un seul mot :
« Coupez ! »
Que la suite des événements vous soit propice et néanmoins faste !
Votre dévoué HOU.
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J’assiste régulièrement aux réunions du Conseil Municipal et je constate que, chaque fois que l’opposition pose une question, parfois provocatrice certes mais toujours de nature à susciter un débat, il n’y a qu’un interlocuteur et toujours le même qui répond: le maire.
C’est dans son rôle mais pas forcément dans ses compétences et c’est là où le politique reprend le dessus. Le plus exemple nous est venu de la question posée par MME Barillot: combien d’emplois seront créés par la construction du stand de tir? Il lui fut répondu avec une pertinence qui n’échappa pas à tous les cartésiens de l’assistance: plus que si on ne le fait pas!
Autre réponse de notre premier magistrat encore à la même élue sur le coût jugé prohibitif d’un local pour l’aquarioclub et le refus de voter un tel budget: les membre de l’association apprécieront.MME Barillot aurait pu ajouter: les contribuables aussi!
Sur le fond je m’interroge sur la justesse d’investissements aussi lourds en cette période difficile. S’il est légitime que les deux associations disposent d’infrastructures, elles les ont déjà sous les terrasses d’Alembert,pourquoi ne pas les conserver? Les constructions qui vont se réaliser car votées par la totalité du Conseil Municipal moins une voix coûtent tout de même respectivement 365000 euros et 1443000 euros HT pour l’aquarioclub et le stand de tir.
Pour ce dernier y-a-t-il une seule ville en France qui oserait investir autant pour une association à caractère ludique sans que cela soit jugé comme une dilapidation des deniers publiques? J’en doute.
Il existe par ailleurs un autre stand de tir à Ecuelles et là, on ne sait pour quelles raisons, les deux clubs ne se sont pas rapprochés pour mutualiser leurs moyens.
De même il existe un aquarioclub à Varennes, pourquoi là aussi n’y a-t-il pas eu de rapprochement entre les deux clubs? Cela aurait été l’occasion de montrer que l’intercommunalité (CC2F) fonctionne.
Ce débat au Conseil Municipal n’existe pas et c’est bien dommage!
Je partage tout à fait votre point de vue, M. Auclair.
Le travail des associations de protection animale ne consiste pas à faire stériliser ni procurer de la nourriture aux animaux de particuliers. La possession d’un animal n’est pas obligatoire, le maître a des obligations envers l’animal qu’il possède (loi de 1999). Les associations responsables et sérieuses se battent pour que ces droits de l’animal soient respectés mais….c’est plus facile d’asseoir une image de marque personnelle avec l’argent du contribuable.
La mairie de Montereau, comme d’autres, passent un contrat avec une société privée (fourrière) dont le chiffre est élevé pour le « ramassage » des animaux errants. C’est donc à la fourrière de faire le travail que font les associations expliqué plus loin. Ce contrat est payé bien entendu par la ville donc par l’argent du contribuable.
La loi interdit le nourrissage des animaux errants (arrêtes municipaux et préfectoraux impératifs) ceci afin d’éviter toute propagation de maladies virales (grippe aviaire, rage….) transmissibles à l’homme.
Le travail des association consiste à recenser les animaux errants, à les faire stériliser et tatouer au nom de l’association la rendant ainsi, au même titre qu’un particulier responsable des animaux qu’elle possède soins et nourriture). Si la loi exige une identification, elle n’exige pas à la stérilisation de l’animal et c’est dommage. Cela éviterait la prolifération excessive que l’on connait dans certains quartiers.
Les chats sont particulièrement victimes d’abandons sauvages. Une majorité de ces animaux livrés à eux même souffrent de maladies invalidantes (sida du chat, Herpès virus…) et meurent dans des conditions épouvantables. Ces maladies sont mortelles à brève échéance. Ils sont contagieux entre eux, les chattes qui sont atteintes mettent bas des chatons contaminés.
Les associations se chargent donc de recenser les animaux et après les avoir « piègés », les conduisent chez un vétérinaire qui évalue leur état de santé. Alors et seulement, ils sont stérilisés et tatoués. Des bénévoles de l’association se chargent d’entretenir (nourriture est soins) ces frateries sur le terrain AUX FRAIS DE L’ASSOCIATION. C’est un gros travail. Ces animaux ont dont légalement un statut de « chat libres » et appartiennent aux associations. Lorsqu’une association procède à « la mise à jour d’un animal » abandonné et laissé sous sa responsabilité, elle le fait avec l’accord d’un vétérinaire qui acceptent de pratiquer ces soins à coût réduit mais pas gratuit. Merci a eux, certains ne le font pas, ils craignent les dérives et ont parfaitement raison car certaines associations font profiter allègrememnt leurs copains des « gentillesses » accordées à titre associatif. Encore une fois, ce n’est pas ainsi que l’on responsabilise un propriétaire d’animal.
La plupart de ces associations ne bénéficient en aucune façon de subventions publiques, elles pratiquent des appels aux dons,organisent des animations (loto, kermesse, brocante, marchés de Noël…) et récoltent ainsi des fonds PRIVES….
La subvention donnée à Madame Drèze vient donc se juxtaposer au contrat passé avec la fourrière. Le contribuable se voit donc obligé de payer deux fois.
Cette association pratique-t-elle ce qu’oblige la loi ? stérilisation, tatouage et, passage obligé soins vétérinaires obligatoires…..je suppose que non… La gestion d’une association n’est pas un gadget, cela demande du temps, de l’argent – PAS CELUI DU CONTRIBUABLE, celui récolté par le travail.
En aucun cas il ne s’agit de faire « joujou » émotionnellement, il est nécéssaire qu’une gestion drastique soit établie….PAS avec L’ARGENT du CONTRIBUABLE…
La question primordiale est donc, une conseillère municipale, à plus forte raison lorsqu’elle est chargée de la vie animale, doit elle être présidente d’une association de protection animale chapotée par la ville dont elle est conseillère et lorsque l’on sait que la majorité des adhérants de cette association sont des directeurs de service de la mairie ou des conseillers municipaux ou maires adjoints de ladite ville ? Il y a là quelque chose de choquant…surtout lorsque cette association reçoit une subvention communale. Cela s’appelle comment déjà ????
Avec un pseudo comme ça, je devrais me réjouir d’une baisse exhorbitante du nombre de félins qui traînent dans les parages !
Si je me rappelle bien les articles parus sur Flamberge, madame Drèze s’est « débarassée » de l’équipe précédente
– 1) parce qu’elle n’avait pas la majorité des voix donc des décisions et qu’elle voulait le pouvoir pour elle toute seule, c’est sa façon a elle d’envisager la démocratie ! et cela d’une façon étonnante.
– 2) parce qu’elle entendait pratiquer entre autre, gratuitement soins et stérilisations et en prime nourriture pour les animaux des particuliers n’ayant pas de gros moyens et ce avec la complicité des services de la ville, donc l’ouverture d’un CCAS pour les animaux. Dans ce cas, pour aller jusqu’au bout des choses, la ville de Montereau ne le ferait-elle pas officiellement en créant un service spécialisé de la vie animale, avec des employés payés par la ville chargés de courir après les félins, de les transporter chez les vétérinaires et distribuer des bons : soins et alimentation gratuits pour les animaux défavorisés.
Cela serait une première en France.
Au moins ont saurait officiellement ou passe nos impôts.
Les membres de cette équipe refusaient d’entrevoir les choses de cette façon et refusaient aussi systématiquement l’assimilation de leur association loi 1091 à un service « mairie » sous prétexte que la ville avait donné une subvention pour faire ce que sa conseillère désirait. (se reporter aux articles de Flamberge à ce sujet). La dame une fois « débarrassée » de ces sujets peu dociles et surtout refusants toutes subventions de la part de la ville a réitéré sa demande de subvention exceptionnelle qui n’avait pas été demandée en temps et en heure par la précédente équipe qui entendait travailler comme toutes les autres associations du même genre……c’est-à-dire en mettant de l’huile de coude et de la sueur.
Et elle l’a obtenu.
Ses anciens « collaborteurs » ont quand même laissés à cette dame une caisse bien remplie, de quoi voir venir…(le fondateur de Flamberge étant présent lors de la remise des comptes peut en témoigner) qu’a-telle fait de cet argent ? Elle l’a dilapidé…. Ils ont, en outre et en plus, rendu LA TOTALITE de la subvention exceptionnelle de 1000 euros accordée lors du démarage de l’association par la ville à cette dame….la somme était coquette, gagnée par le fruit de leur travail et d’une gestion sévère de la part du trésorier (travail auquel la dame n’a jamais participé mais dont elle entendait profiter à sa guise).
Cette dame dépense bien rapidement l’argent des autres, cela avec la complicité des élus de la ville qui accordent bien volontier des subventions pour des causes….dirait-on par ces temps de misère….secondaires.
Madame Barillot, conseillère municipale d’opposition n’est-elle pas elle même adhérente à cette association ce qui expliquerait qu’elle n’ai pas réagi contre l’accord de 1000 euros de subvention. Elle ne pratique pas le tir au fusil ou au révoler, quoique, mais elle aime bien que l’association dont elle fait partie se gorge d’argent public dont la présidente dispose selon son bon plaisir.
Quoi qu’il en soit, en période de crise, où, selon les statistiques évoquées par les médias, un français sur deux ne part pas en vacances pour cause de porte monnaie vide, ça fait un bon paquet et parmi eux des enfants, il semble qu’en mairie de Montereau, l’argent des autres satisfasse grandement le hochet obtenu en récompense offert à cette dame lors d’obscures tractations électorales.
Il n’est pas certain que cela serve vraiment la cause animale.
a mort les chats les pigeons les souris les herissons les blattes les tortue les corbeau la grippe [ hache un n un ] la guerre quoi mai a quand a mort la betise lincapacité a diriger lidiotie le tournage de veste le favoritisme les depense inutile les expulsions l arret des atribution de logement pistonner a quand une independance des association franchement surville est dans le pire etat quelle na jamais connu ok ya du changemet mai pour qui ????????? pour tout ceux qui sont encor au stade cromagnon et qui marche encors a quattre patte cest vrai que la moquette de la mairie est bien douce et ne doit pas griffer ou abimé toute ces ptite paires de fesses qui si frotte hahaha les bonobo jai ompris a la mairie de montereau ya que des bonobo les fesse bien rouge hahahahahaha hum hum um un peux de serieux hahahahaha
et oui KB, les expulsions ! Les régularisations de charges inexpliquées ! Le trésorier de l’association de la conseillère municipale présidente n’est-il pas le même qui ferme les yeux sur tout cela ? Les expulsions, la précarité, les privations sont-elles la priorité de ces messieurs et dames bien plus préoccupés par leurs petits soucis personnels ? leur priorité à eux, du moins pour certains, est de se payer des joujoux avec l’argent des autres…
Si nous avons bien compris, la dame qui s’occupe de notre virilié, accomplit son fantasme barabare avec les sous des contribuables. Ce que nous regrettons vivement à notre corps défendant.
Nous nous permettons une suggestion : Cette dame pourrait organiser une vente aux enchères « cuvée spéciale des côteaux de Surville » – Ceci fait un dimanche d’hiver, à la salle des fêtes de Montereau, un huissier de justice supervisant la vente. Il remettrait, en public, la somme récoltée au trésorier de l’association de la dame. Le vin récolté sur la propriété de Surville de la conseillère déléguée à….. serait ainsi vendu, 200 euros minimum la bouteille.
Ainsi, elle n’aurait plus besoin des sous des autres pour assouvir ses fantasmes.
Mais monsieur son mari serait-il d’accord ?
J’en tiens un (matou miteux) et l’esprit de ma grande-mère me fait dire que la méthode PAN ! entre 2 briques c’est pas cher et efficace.
1er C.Q.F.D. : pas besoin de subvention. ça me fait penser : Brigitte Bardot elle aussi elle aime beaucoup les animaux ;
2ème C.Q.F.D : en prenant de l’âge on s’arrange pas toujours…faut rester vigilantes mesdames !!!