Vous m’ferez 346 jours de trou !
ue voulez-vous, c’est comme ça et je n’y peux rien, je reçois un nombre important de mails de fidèles Flambergiennes, à la fois observatrices et perspicaces.
Voici ce que m’écrivait l’une de ces fidèles parmi les fidèles, il y a très peu de temps. Et bien entendu, je l’en remercie très sincèrement.
« Je suppose que vous prenez le chemin de la zone industrielle pour « monter » à Surville et atteindre votre lieu de travail. Je crois que c’est le chemin le plus court…
Mais il devient aussi le plus dangereux…pour la suspension de votre voiture !
Les trous dans la chaussée se sont amplifiés et je pensais que cet été, cette route serait revue et corrigée. Pas du tout !
Par contre, en ville, le parking « Rustic » est en pleine rénovation ! Les routes de la zone industrielles empruntées par les « travailleurs » n’intéressent pas outre mesure notre premier magistrat, mieux valait refaire un parking en pleine ville qui ne présentait aucun trou…
Apparence…encore une fois !
Les malheureux « travailleurs » qui fréquentent la zone industrielle n’auront pas droit à une remise en état des accès de leurs lieux de travail…. Pour votre rentrée, attention donc, prenez garde, la suspension de votre voiture craint !
Sans doute pour réveiller les travailleurs endormis…«
Il ne m’en fallait pas plus pour aller réaliser quelques petits clichés de ces trous, aux endroits mêmes décrits dans ce mail.
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Il y aurait bien une explication quant au « non-rebouchage » de ces ornières…
Notre désormais DMPR-346-1 se serait-il associé avec la société Midas, qui veille sur nos amortisseurs avec les yeux d’une Chimène énamourée ?
Il ne nous resterait donc plus à nous autres utilisateurs de ces routes défoncées qu’à adresser nos factures au 54 de la rue Jean-Jaurès afin d’être entièrement remboursés !
Et nous chanterions évidemment tous en coeur devant l’hôtel de ville :
« Avec l’ami Midas, on n’se quitte jamais! »
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C’est vrai ça, il serait interessant de connaître le chiffre du coût de réfection des routes de la zone industrielle et celui du coût du programme « culture » à un euro les visites ludiques avec un élu pour accompagnateur (la place qu’occupe l’élu est une de moins pour le citoyen. La crise étant,quand on n’a pas trop de moyens, on est obligé de faire un choix : la remise en état et l’entretien des routes qui servent à la communauté, du moins celles à qui revient l’entretien par la ville ou le tourisme à prix très très réduit sans vérifier l’avis d’imposition de ceux à qui y participent. A Montereau, le choix est fait : « La croisière s’amuse d’abord »
Affligeant constat que celui de l’entretien de la voirie dans cette ville tape à l’?il !
Autre exemple
Est ce que des flambergiens ont un jour tenté de longer la collégiale (au niveau de la rue J.Jaurès) avec un « caddie » ou une poussette d’enfant?
Est ce que certains – en file indienne, c’est évident- ont simplement eu l’audace de passer en évitant les crottes de pigeons et les déversements d’eau des gargouilles, tout en slalomant entre les voitures en stationnement sauvage ?
Bravo les kamikazes, les inconscients et les héros !
Il y a plus d’une dizaine d’années, l’édile de la ville, m’avait répondu, en réunion publique, qu’un réel problème de circulation des piétons existait à cet endroit et qu’un projet de réaménagement était à l’étude !!!!
Dont acte.
Eh oui Flop! encore une promesse, et de longue date, non tenue.
La punition pour notre édilanous serait de le faire passer en costume trois pièces et collier de tiaré, sous les gargouilles, par temps de pluie en hurlant »je vous l’avais bien dit qu’il fallait faire quelque chose »!en présence de tous ceux qui subissent le même sort depuis des décennies.
même punition pour tout le conseil municipal
En total accord avec Flop, les polices nationale et municipale reçoivent-elles des ordres pour laisser le stationnement sauvage se développer le long de la collégiale et ne pas verbaliser les clients du commerce d’en face qui vont acheter leurs cigarettes en buvant un petit coup. En ce qui concerne les pigeons
n’a-t-on pas à Montereau créé un poste
d’adjoint à la vie animale et à la biodiversité ?
Ce problème n’existe pas qu’en ville basse, à Surville aussi les pigeons se reproduisent à vitesse grand V en toute liberté en souillant les façades sans que personne ne s’en soucie et malgré les réclamations des administrés.
Triste constat, comme dans la zone industrielle, comme le long de la collégiale, faut-il qu’un accident grave arrive pour que le maire prenne les décisions qui s’imposent.
Sans compter que des routes comme ça, ça doit donner envie de venir s’implanter à Montereau, quand on est à la recherche d’une zone industrielle !
Pour travailler tout près de la collégiale, le parking n’est pas en zone bleue même si le marquage au sol le laisse penser. Ça fait longtemps que je ne me gare plus là car il y a bcp trop de … trous.
Je suis d’accord avec vous, je fais tout les jours le trajet Varennes – rue Jean Jaurès pas au 54 un peu plus bas et il n’y a pas de nid de poule.
J’étais en vacances dans l’Aveyron, département français réputé pour la qualité pitoyable de ses routes, et bien les routes de l’Aveyron sont en meilleurs états (et de loin) que celle de la zone industrielle et de certaines rues de Surville. Parce que j’ai beau habité à Varennes je fais mes courses à Carrefour et je n’emprunte pas l’avenue de Surville.
Pour conclure, j’ai l’impression qu’à Montereau il y a le même problème que dans ma ville Simcity, des économies sur les routes !!!!
« Tout est parti d’une simple note sur un blog relativement consulté à Montereau » nous dit J.Egger dans son article sur la REP…. J’adore l’adverbe RELATIVEMENT ! Le blog est peut-être consulté « relativement » mais il a l’air d’être lu « en haut lieu », donc : EFFICACE.