Fuir les chantiers battus ?
a liste des spécialités monterelaises s’allonge : après la faïence, les cailloux, les chats castrés, les trous dans les routes, les coïncidences, les mauvais classements économiques et les conseils municipaux à très grande vitesse, il semble que la commune se soit dotée d’une nouvelle marque de fabrique : les travaux qui s’arrêtent.
On se souvient évidemment des maisons à 100 000 euros, remplacées par les maisons à 15 euros par jour, dont le chantier s’est déjà arrêté deux fois, puisqu’ayant connu la succession de trois entreprises-maître-d’oeuvre.
C’est toujours en ville haute qu’un nouveau chantier s’est arrêté, et en l’occurence, celui de la cantine incendiée en mai 2007, ce qui ne nous rajeunit pas.
Voilà ce qu’annonçait alors le toujours si enthousiaste, si optimiste et si impartial site de la municipalité :
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Hélas, voici ce qu’on pouvait apercevoir ces jours-ci, derrière le grillage, rue Edmond-Rostand :
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Ces photos ont été prises la semaine passée.
Depuis quelques semaines déjà, selon les riverains, plus d’ouvriers sur le site du restaurant scolaire : on ne trouve plus que des gravats et de la laine de verre sur le sol du bâtiment préfabriqué !
Chercherait-on une nouvelle fois un repreneur pour un chantier inachevé ?
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A propos de chantier inachevé, une nouvelle audience dans la grande affaire du procès Jégo/Poey avait lieu hier, au palais de Justice de Paris.
Il s’agissait de faire le point…
La 11ème Chambre d’appel (qu’on appelle maintenant le pôle 2-7) n’avait pas encore reçu le rejet du pourvoi adressé par Yves Jégo à la cour de cassation.
C’est donc moi qui ai appris ce rejet au Président du tribunal, qui a par voie de conséquence fixé deux nouvelles audiences :
- le 11 février 2010, pour une audience relais destinée à prendre acte de l’arrêt de la Cour de Cassation.
- le 8 avril 2010, audience au cours de laquelle mes avocats plaideront seuls, sans partie civile.
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A suivre !
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