C’est lui qui le dit…
n 1964, M. Jacques Bienvenu, professeur d’histoire au CEG de Montereau, avait fait paraître un petit opuscule consacré à la bataille de Montereau.
(J’en profite pour saluer la mémoire d’Edouard Papalia qui avait édité l’ouvrage en question à l’imprimerie du progrès. C’est M. Papalia qui le premier accepta de publier les écrits de M. HOU…)
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Dans cet opuscule, M. Bienvenu dressait le déroulement de la dernière victoire de l’ogre corse, au cours de laquelle, je vous en parlais hier, environ 8500 soldats périrent, sans compter les victimes civiles.
Le plus intéressant du livre se trouve à mon avis à la page 20.
M. Bienvenu nous livre le commentaire de Napoléon concernant les Monterelais qui avaient un peu trop à son goût frayé avec l’ennemi.
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Voici donc ce que va réellement célébrer notre Député-Maire-UMP-PR-346-1, pendant les trois prochains jours : la pusillanimité des monterelais de l’époque, qui n’ont eu « que ce qu’ils méritaient ».
On verra par là que l’Histoire, que l’on dit n’être qu’un éternel recommencement, montrera peut-être à Yves Jégo que l’ex petit-caporal, celui qui a rétabli l’esclavage en France, celui-là avait néanmoins parfois une vision assez juste de la situation.
Un autre qui a une vision assez juste, c’est Thierry LENZ qui est un jeune spécialiste reconnu de Napoléon Bonaparte, et ce, sans pour autant l’idôlatrer. (Il parle d’un bilan global catastrophique…)
Je vous communique un petit document où Thierry LENZ parle d’un aspect trop souvent passé sous silence, à savoir la propension de l’empereur à communiquer.
Ah ! Napoléon le communicateur…
On comprendra, après avoir visionné cette interview, pourquoi à Montereau, ce personnage, l’un des plus controversés de l’Histoire de France, semble fasciner tellement Yves Jégo…
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Et oui, en 1946, Monsieur Jacques Bienvenu alors Professeur au Cours Complémentaire de Montereau, (dit le Bouif pour ses élèves) faisait des conférences dans le cadre de la Société des Conférences Populaires de Montereau-fault-yonne !
Une Société bientôt reprise par nos « Historiens » locaux ?
car d’après le billet de J2M, 346 a besoin de leur « savoir » et 2 valent mieux qu’1 -
On ne peut retirer à Napoléon ses qualités de visionnaires, ses jugements sur la nature humaine semblent en effet toujours valables près de 2 siècles après !
Je confirme… Au début des années 60, j’ai eu M. Jacques Bienvenu comme professeur d’histoire au C.E.G. de la Poterie…
Son surnom était bien « Bouif »….