La rime était pauvre…
Je vous propose aujourd’hui le deuxième volet de notre nouvelle rubrique « Ah ! Ca ne nous rajeunit pas… »
Tout de suite, le pitch.
En 1993, notre CMDVA, notre conseillère-municipale déléguée à la vie animale, était encore membre du Parti socialiste. Elle n’était pas encore du dernier mieux avec Yves Jégo, mais soutenait activement son Alain Drèze de mari, alors maire socialiste de Montereau-Fault-Yonne.
(Si on nous avait dit à l’époque que le couple appellerait à voter un jour pour notre Député-Maire-encore-Conseiller-régional-UMP-PR-346-544, on aurait interné celui qui aurait tenu de tels propos… Et pourtant…)
En ce temps-là, Marie Drèze s’exprimait relativement souvent dans les colonnes de la Délivrance, pour tomber notamment à bras raccourcis sur le Conseiller municipal Yves Jégo.
Ce même Yves Jégo ne savait plus alors quelle Marie Drèze l’apostrophait : était-ce la militante PS, était-ce l’épouse de Maire ?
Le numéro 2446 de la Délivrance daté du 15 avril 1993 résumait fort bien ce doute :
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Bien entendu, la réponse de la bergère socialiste à son futur berger UMP (qui à l’époque était un berger RPR), cette réponse-là ne se fit pas attendre.
Voici le N° 2448 de la Délivrance daté quant à lui du 29 avril 1993.
Mme Drèze se dit alors « choquée » par le fait que selon elle, Yves Jégo niait ni plus ni moins son « identité de femme à part entière » : c’était marqué, vous l’allez voir, elle écrivait, donc elle était !
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Je l’écrivais en titre, elle alla jusqu’à faire rimer « macho » avec « Jégo »…
On verra par là que le vent monterelais en a fait tourner des girouettes, et que désormais, les deux protagonistes sont tombés d’accord.
C’est certain : notre DMCR-UMP-PR-346-544 est aux yeux de notre CMDVA beaucoup moins « macho »…
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Merci de rappeler que c’est la saison des vides reniés.
Ca fait tout drôle de relire tout ça.
A l’époque, il faut rappeler que Drèze avait été le secrétaire de la fédération seine-et-marnaise du PS.
Quand on relit ça, on mesure le grand écart réalisé !
Castafiore, dame aux chats, coupeuse de de c….. les mots sont cruels. Elle n’a de cesse que d’EXISTER et tous les moyens sont bons. (- »dites merci à Mr Jégo »).Il est fort à parier qu’elle n’a pas rédigé un tel texte, il faut être militant dans ses tripes pour cela. On s’est donc servi d’elle. Elle n’est donc que quelqu’un à la botte de quelqu’un d’autre. On rêve devant ces termes militants lorqu’on pense ce que l’un et l’autre sont devenus pour narguer les anciens copains, prouver qu’ils existent encore même si pour cela il faut renier ses tripes. Pour prouver son existence, elle court après les chats. Son ex macho d’ennemi lui proposant pour gagner quelques voix eléctorales un rôle subalterne, elle accepte pour exister. Encore une fois, on se sert d’elle. C’est triste surtout si c’est une façon de prouver qu’on existe. Ramasser sous la table des miettes de miettes de gâteau c’est toujours bon à prendre quand on a un tel besoin d’exister. Ah frustration quand tu nous tient. L’être et le paraître, joli sujet de philo.
Tout l’Art de savoir appeler » Un chat un Chat »…..
BIZARRE! Les problèmes des monterolais en 1993, d’après jego etaient, le chomage,l’immigration,l’insécurité et le malaise social.Depuis 17 ANS quoi de changé?……. Ah! il y a eu 8 emplois de créés sur la zone franche (ou l’on est exonéré de certains impots) quelle réussite! C’est ça les réponses!
d’accord TOTO on est loin des « 1000 jours 1000 emplois »
346-544 écrit en 1993 « que la France traverse la plus grave crise de son histoire de l’après guerre » il n’écrit plus rien à ce propos aujourd’hui ?
A cette époque, pas si lointaine, toutes les forces politiques pouvaient s’exprimer de manière équitable. Cela n’est plus le cas aujourd’hui et c’est la démocratie qui est menacée. Puissent nos concitoyens s’en rendre compte!