Fontainebleau, le retour !
Vous le savez si vous suivez les aventures flambergiennes de ce modeste site d’information, j’avais rendez-vous hier à quatorze heures pour l’audience prévue dans le cadre de l’assignation en référé émanant de M. Jean-Luc SCHNOEBELEN, co-dirigeant avec Michel VIALATTE de la société ARCET-COTATION.
Je fus à l’heure,et retrouvai sur place mon avocat, Me GERPHAGNON, inscrit au barreau de Meaux, et Avocat de la Fédération seine-et-marnaise du Parti Socialiste.
Je retrouvai donc également la splendide fresque ci-dessous évoquant l’assemblée bellifontaine de 1560, qui, à la demande de la reine Catherine de Médicis, eut pour objet de rechercher les possibles conciliations entre catholiques et huguenots. L’assistance approuva, en dépit de la colère du cardinal de Lorraine, la proposition de Gaspard de Coligny, qui demanda la libre pratique de la religion réformée. Michel de L’Hospital y préconisa en outre des mesures pacifiques, en prononçant la célèbre phrase » Qu’y a-t-il besoin de tant de bûchers et de tortures ? C’est avec les armes de la charité qu’il faut aller à tel combat. Le couteau vaut peu contre l’esprit. »
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Mais je m’égare. Revenons à nos moutons…
L’avocat du demandeur exposa ses conclusions, et le mien fit de même.
(On comprendra que la Présidente du Tribunal ayant mis le « résultat des courses » en délibéré au 18 octobre prochain, je reste discret sur le déroulé des événements).
Mais sachez simplement qu’à la sortie de cette audience, Me GERPHAGNON et moi-même étions bien contents !
A suivre, et à demain !
Un grand merci à tous ceux qui de vive voix, de vive plume, de vif traitement de texte ou de vive pensée ont tenu une nouvelle fois à me manifester leur soutien !
Il avait en tout cas bien raison, Michel de l’Hospital : « Le couteau vaut peu contre l’esprit. » !
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