On ferme ! Encore et toujours !
Cette fois-ci, c’est à Montereau-Surville, en ville haute qu’une entreprise vient de fermer ses portes.
Il s’agit en effet de la société Metall’s 77, située en Zone franche.
Voici une photo prise mi-décembre :
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Et voici ce que l’on pouvait voir sur place lundi dernier, à la même heure :
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Le rideau de fer est baissé, la grille est fermée.
Malheureusement, ce sont six personnes qui risquent de se trouver au chômage, six demandeurs d’emploi supplémentaires, suite à cette liquidation judiciaire.
Les statistiques monterelaises risquent encore et toujours de s’aggraver.
On aura compris en tout cas que la Zone franche est loin d’être la panacée dont parlait naguère notre Député-Maire-ARES-ex-UMP-Avocat-346-544 !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Zone_franche
Mais rassurons-nous…. Sans aucun doute, ces six personnes pourront retrouver un emploi dans le parc d’attractions napoléoniennes !
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BIZARRE!Je croyais savoir que M JEGO était le premier responsable nationnal des zones franches. Si cela se casse la binette ici, comment cela se passe ailleur? C’est surement de la faute aux 35 heures Au fait vous avez vu, c’est L’ECOLE DE LA REPUBLIQUE qui va se retrouvée demain en ZONE PRIVEE.
Je m’inquiete pas pour les patrons, ………………….. !!!! il faut voir ou ils viennent d’ouvrir une entreprise. Ils viennent de réouvrir ou? … Dans une autre zone franche. Cherchez l’erreur!!!
Commentaire modéré par le Directeur de publication de ce site.
Oui bien sûr ils pourront toujours travailler en Jégonapoléoland à l’horizon 2017….si les financements, si le terrrain, si….oui mais voilà, en terres universelles : ON MANGE TOUS LES JOURS FAMILLE COMPRISE, au minimum deux fois par jour et d’ici 2017 ils vont être obligés de jouer comme figurants « le grognard mort » sur le champ de bataille déserté de l’emploi. Le centre de contrôle technique a lui aussi tiré le rideau et bien d’autres. Pourtant les entreprises installées en « terre des ormeaux » à la place des vignes d’antan n’étaient pas que des boîtes aux lettres. Montereau la maudite, trop loin de tout, trop peu attractive, sans logements intéressants pour les cadres, tout juste pour le citoyen du bas de l’échelle et encore, la déconstruction massive de logements à Surville n’a rien arrangé privant aussi du même coup la possibilité d’obtenir un logement rapidement sur son lieu de travail. Au fait, combien d’entreprises travaillant sur les chantiers de reconstruction ont-elles créés d’emplois pour les chômeurs du crû ? Il serait intéressant d’effectuer un rapport chiffré des dépenses et des recettes, des subventions versées par l’état à la ville pour installer une zone franche (d’où l’intérêt de sauter à pieds joints sur cette idée). Qui va entretenir les locaux désertés ? Qui a payer ces structures inoccupées ? A quoi vont-elles servir ? Va-t-on les déconstruire elles aussi ? Certaines « entreprises » installées en zone franche ont seulement profité de la niche fiscale puis s’en sont allées vers d’autres cieux une fois la période de défiscalisation terminé. Le bénéfice étant nul pour les chômeurs de Surville mais interessant pour l’entreprise. Il serait interessant aussi d’effectuer une étude approfondie sur les entreprises ayant demandé « asile zone franche », ce qu’elles sont devenues, où se sont-elles installées, le nombre d’emplois qu’elles ont créés réservés aux habitants locaux (c’était l’obligation). J’en connais certaines qui n’ont rien créé du tout mais qui ont profité de la chose. Y avait-il un volet ‘sanctions’ en cas de non respect des règles imposées en zone franche ? Les entreprises étaient-elles tenues de rembourser les avantages « zone franche » en cas d’échec ou de départ ou de non création d’emplois ? rien de tout cela je suppose. On recherche étudiant en mal de sujet de thèse.