Quand Jean-Marie Albouy s’en mêle (En trois mots, « s’en mêle »..)

Aujourd’hui, une nouvelle page va s’ouvrir dans le duel furieux qui oppose notre Député-Maire-PR-ex-ARES-re-UMP-Avocat-346-544 au Maire de la Grande Paroisse.

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Les deux hommes, vous le savez, se livrent une bataille féroce aux côtés de laquelle la prise de la smala d’Abdelkader par les troupes du duc d’Aumale le 16 mai 1843 ferait presque figure d’aimable partie de tric-trac : pour not’ bon maire, il est impensable qu’un autre concurrent de la droite et qui plus est se réclamant de l’UMP se présente aux législatives prochaines.

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Il veut être le seul et veut le faire savoir.

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En effet, Yves Jégo sait compter, et il a bien compris que s’il n’est pas seul à droite à se présenter en juin prochain pour tenter de rester député, avec en plus un ou une candidate du Front National qui hélas, risque de réaliser un gros score, la situation risque d’être arithmétiquement assez périlleuse pour lui.

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Pour bien sensibiliser les habitants de la Grande-Paroisse, à savoir les ouailles de Dominique Lioret, « on » a eu recours à la prose toujours exemplaire du premier maire-adjoint-monterelais-présentateur-de-catch.

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Voici ce que chaque habitant de la Grande-Paroisse a reçu :

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Vous l’aurez compris, l’exécutif monterelais prend prétexte d’une question tout à fait mineure pour mettre en garde les grands-Paroissiens.

Quant à la ville de Montereau, elle a bon dos…

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Cette ville qui « regretterait que les habitants de la grande-Paroisse puissent faire les frais des problèmes politiques de leur Maire« …

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Tremblez Grands-Paroissiens !
Ne dormez pas tranquilles, la rétorsion monterelaise pourrait être en marche !

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Alors évidemment, vous me direz que des esprits chagrins, et vous savez bien combien il peut y en avoir, de ces esprits chagrins en cette triste vallée de larmes, ceux-ci pourraient se dire aussi que c’est un éventuel appel à ne pas éventuellement voter pour un éventuel concurrent d’Yves Jégo lors d’une prochaine élection bien réelle celle-là..

Une chose est certaine : quelque chose me dit qu’on n’a pas fini de retrouver ce dossier dans ces colonnes…

Et d’ailleurs, comme c’est étrange, nous le retrouverons demain, ce dossier.

En effet, hier soir, avait lieu en Conseil de la CC2F, notre Communauté de Communes du Fleuve et de la Rivière, un événement qui allait tourner quasiment au psychodrame.

Si, si, c’est comme je vous le dis.

A demain !

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