Oh les filles ! Oh les filles ! Elles le rendent marteau !
Avant-Post
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Je voudrais adresser toutes mes félicitations à la famille Belarbi.
On se souvient que M. Salah Belarbi, ancien secrétaire de la section PS de Montereau se rallia à notre Député-Maire-ex-ARES-PR-plus-UMP-Avocat-346-544.
Il fut nommé dans la foulée délégué du Préfet.
Hélas, il y perdit son emploi. Mais pas pour longtemps, je vous rassure.
Il vient d’être nommé à la Direction de l’Ecole de la 2ème chance à Melun. Ecole présidée par Yves Jégo…
Quant à Mme Belarbi, elle s’occupe du CLSPD (le Conseil Local de Sécurité et de la Prévention de la Délinquance) à la Mairie de Montereau.
C’était notre grande série consacrée aux trente deniers.
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Oh les filles ! Oh les filles !
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Je vous l’avais promis, hier !
Aujourd’hui, ce sera un papier « spécial filles ».
Les garçons peuvent rester quand même…
Mardi dernier, Hélène Favier publiait un papier sur le site d’Europe1 concernant le ton qui montait ici et là entre les supporters Sarkozystes et Hollandais.
C’était ici :
http://www.europe1.fr/Politique/Le-ton-monte-entre-le-camp-Sarkozy-et-Hollande-965319/
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Hélène eut l’idée de donner la parole à notre Député-Maire-ex-ARES-PR-plus-UMP-Avocat-346-544.
Celui-ci avait une idée bien arrêtée concernant le fait que la campagne de 2012 était plus musclée que celle de 2007, et inversement :
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On l’aura compris, pour not’ bon Maire, si la campagne de 2007 est moins musclée, c’est parce qu’en face, il y avait une femme.
« Les Français auraient peu compris la même brutalité à l’encontre d’une femme« .
En prononçant cette phrase, Yves Jégo pensait assurément à Patricia Inghelbrecht, la candidate socialiste PS aux prochaines législatives sur la 3ème circonscription de Seine-et-Marne, qui va tenter de lui ravir son mandat parlementaire.
Il ne sera donc pas brutal envers elle.
Qu’on se le dise !
Car c’est vrai qu’Yves jégo ne peut pas être brutal envers une femme.
La preuve :
La directrice de l’office HLM de la ville d’Yves Jégo licenciée après son cancer
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Ca, ce n’est pas de la brutalité. Non, bien évidemment…
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Comme ce papier est un spécial « filles », je voudrais vous proposer trois autres moments dans lesquels Yves jégo parle des femmes…
J’ai retrouvé ces moments dans son livre, le « Dictionnaire impertinent de l’Ile-de-France« .
J’en possède un exemplaire, que je n’ai pas acheté, mais que j’ai récupéré auprès d’une grande rédaction de presse nationale.
Son rédac’-chef ayant demandé sa mutation, il y laissa son exemplaire dédicacé, prouvant bien là la haute estime en laquelle il tenait l’ouvrage pourtant dédicacé par l’Auteur avec un grand A.
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Page 98 :
Notre édilanous veut tresser des lauriers à Nathalie Kosciusko-Morizet, NKM, et veut démontrer ses capacités et ce qui fait qu’elle est légitime en matière de gestion francilienne.
Voici ce que nous pouvons lire :
« La dynastie d’hommes politiques politiques dont elle est issue lui donne un véritable ancrage territorial en Ile-de-France : son père est maire de Sèvres, son grand-père était maire de Saint-Nom-la-Bretèche et secrétaire national du RPR, son arrière-grand-père fut sénateur maire de Boulogne-Billancourt« …
On voit donc quels sont aux jégoïstes yeux les principaux mérites de NKM !
Page 123 :
Not’ bon Maire veut tresser des lauriers Valérie Pécresse :
« Aux heures calmes du matin, elle retrouve auprès de ses enfants cette force maternelle qui la rend si sereine et rassurante, elle cultive son image de mère, sans arrière-pensées.«
Je suis resté sans voix à cette terrible image jégoïste destinée à dresser des lauriers pécressiens. Une image très féminine !
Une image de mère. Seulement.
(J’en profite pour vous informer que Valérie Pécresse et moi échangeons parfois sur des sujets très intéressants, comme hier :
Je continue…
Page 182 :
Mais voici mon passage préféré du livre.
Notre DM-ex-ARES-PR-plus-UMP-A-346-544 a choisi de terminer son bouquin par quelques citations.
Pour évoquer le verbe « conduire », il a recours à une citation du très peu regretté Paul Guth.
Conduire :
« Laisser conduire à Paris sa femme, c’est vouloir soit une autre voiture, soit une autre femme.«
Sans commentaires…
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On l’aura compris, mes propos du jour n’étaient pas seulement « putassiers ».
Ils étaient aussi féministes !
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