De bien beaux écrits, surtout le premier…

Oui, aujourd’hui, je vous propose deux textes.

Le premier de ces textes, nous le devons comme à l’accoutumée à Henri Auclair, Conseiller municipal monterelais d’opposition.

Il s’agit de sa nécessaire tribune libre paraissant dans le très jégoïste organe de propagande « 7/7″.

Henri va nous rappeler une vérité, comme il sait si bien le faire.

Mais jugez plutôt :

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Les impôts locaux augmentent, monsieur not’ bon Maire, en vertu de la mathématique qui est une bien belle chose :

Le maire que vous êtes ne fait pas augmenter le taux d’imposition.

Le député que vous êtes vote l’augmentation de la base d’imposition…

D’où une augmentation. démonstration implacable qu’ont bien comprise Messieurs vos collègues Copé et Jacob !

Merci, Henri, de nous rappeler toutes ces saines et incontestables vérités !

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Le deuxième écrit est un courrier jégoïste envoyé le jour de la St Valentin aux habitants de la Grande-Paroisse.

Il s’inscrit bien entendu dans la guerre impitoyable qu’a déclarée notre Député-Maire-ex-ARES-PR-plus-UMP-Avocat-346-544 à Dominique Lioret, le maire de cette commune, qui a décidé d’aller jusqu’au bout dans sa démarche de se présenter aux prochaines élections législatives prochaines.

Yves Jégo veut rassurer ses potentiels électeurs grand-paroissiens.

Mais jugez plutôt !

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Une nouvelle fois, notre DM-ex-ARES-PR-plus-UMP-A-346-544 démontre qu’il est aux abois.

Personnellement, je crois qu’il n’a jamais eu aussi peur de perdre un mandat électif…

Outre cette analyse personnelle, je ne peux que m’interroger une nouvelle fois sur le pronom de la 1ère personne du singulier :

« J’ai été amené à retirer sa délégation….. »

« J’ai proposé que ce poste….

N’avez-vous pas l’impression encore une fois que ce « J’  » donne vraiment l’impression que la CC2F est là uniquement pour entériner les jégoïstes décisions ?

On a vraiment le désagréable sentiment que le Conseil communautaire ne sert uniquement qu’à entériner les désirs du chef.

Et ça, c’est absolument détestable.

Nous ne sommes pas revenus au temps de la féodalité, à l’époque du suzerain qui dicte ses volontés aux vassaux, du seigneur tout-puissant dans son fief, que je sache…

Si ?

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