2012, l’autre idée de l’espace
Nous allons rester si vous le voulez bien dans le domaine des animations d’été monterelaises.
Après vous avoir entretenu hier du peu de colonies de vacances « offertes » à la population des 6/17 ans, je vous propose de jeter un coup d’oeil sur l’animation « Espace dans ma ville » proposée du 16 au 21 juillet dernier.
Pour tout vous avouer, c’est un collègue à la fois directeur d’école monterelais et mien ami qui m’a fourni le prétexte au papier de ce jour.
L’opération « Espace dans ma ville » est, je le précise d’emblée pour que les choses soient bien claires, une EXCELLENTE idée !
Je le dis comme je le pense.
Elle est proposée par le CNES, le Centre National d’Etudes Spatiales.
En voici les objectifs :
http://www.cnes.fr/web/CNES-fr/7574-le-projet-espace-dans-ma-ville.php
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Ce qui a interpellé mon collègue, c’est la façon dont tout ceci a été mis en place localement.
Tout d’abord, à la mairie de Montereau, vous le savez bien, quand on fait des choses, il faut que ça se sache.
Ailleurs, on les fait simplement, ces choses. Nous, on le fait savoir, et j’en veux pour preuve ce magnifique et traditionnel carton d’invitation à l’inauguration jégoïste de l’animation ainsi qu’au « pot de clôture »..
Il faut ce qu’il faut !
Heureux qui communique et a fait un beau voyage, même dans l’espace.
(Et puis ça fait dépenser un peu l’argent de la Dotation de Solidarité Urbaine dont je vous entretenais hier…)
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Dans ce genre de projet, ce qui est avant tout recherché par le CNES, c’est le partenariat qui pourrait être instauré entre les structures d’animation d’une ville et les services de l’Education Nationale, à savoir ici, les écoles élémentaires de la ville.
J’en veux pour preuve la déclaration de Claire Edery-Guirado, du CNES, déclaration rapportée dans la République de Seine-et-Marne datée du 23 juillet dernier : « La ville offrait différentes caractéristiques qui nous intéressait comme par exemple la motivation autour des sciences dans le milieu scolaire« .
Je vous jure que je n’invente rien, c’est écrit.
Voici à quoi fut réduit, et c’est toujours mon collègue directeur qui m’en fit le remarque, voici à quoi fut réduit ce partenariat :
Une missive de not’ bon maire que voici :
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Le courrier étant daté du 19 juin dernier, il arriva dans les écoles le 22 du même mois, alors qu’il ne restait plus que 6 jours pour « sensibiliser les équipes », sans aucune directive, au passage, de la hiérarchie de l’Education Nationale…
Ca c’est du partenariat, non ?
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Si vous avez lu attentivement cette jégoïste lettre, vous n’aurez pas manqué de remarquer qu’elle fait état du CUCS.
Le CUCS, qu’est-ce que c’est, à quoi ça sert ?
Nous en reparlerons demain, même lieu.
Pour l’heure, c’est vous qui déciderez…
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Ah si ça avait été un projet napoléonien !
Effectivement Ajax, je n’y avais pas pensé…
On en a la tête dans les étoiles.
Ajax, vous pensez que Jégo veut envoyer la statue de Napoléon graviter en orbite géostationnaire sur Montereau ?
Pourquoi fallait-il joindre le Directeur du centre social pilote de l’opération par un n° 06 pour obtenir des renseinements complémentaires sur l’opération ? il ne dispose pas d’un bureau avec ligne fixe au centre social rue André Thomas?
Que ce serait drôle !
Touché @ p’tite souris. Pourquoi infliger au demandeur un n° de portable dont la communication lui coûte la peau des genoux.
Ma précédente réponse s’adressait à @ Lucius.
Cela devient une habitude de faire payer le demandeur.
Hors sujet mais lorsqu’on appelle l’office pour un souci, il faut appeler le « responsable » de quartier…sur un portable et bien souvent on tombe sur la messagerie. Si on appelle un portable c’est pour que l’agent qui est au boulot réponde(payé par les loyers) et soit disponible, non sur messagerie. Il ne rappelle jamais, c’est la joie pour le demandeur.