1961… Quelle belle année !
Je vous propose aujourd’hui de remonter le temps, grâce à une Flambergienne fidèle d’entre les fidèles, et ce, à l’occasion de la rubrique « Ah ! Ca ne nous rajeunit pas !« .
Nous sommes en 1961.
Une belle année, 1961, au cours de laquelle pléthore de personnalités illustres naîtront, parmi lesquelles notre Député-Maire-plus-RPR-DLR-UMP-PR-ARES-maintenant-UDI-Avocat-346-544, à Besançon, et beaucoup plus modestement, à Montereau, votre serviteur.
Une année riche d’actualité…
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Nous sommes donc au printemps 1961.
La campagne des élections cantonales bat son plein.
Je vais vous communiquer la profession de foi, ainsi que le programme de l’un des candidats, M. André DUPONT, Inspecteur principal des travaux, qui se présentait cette année-là sous l’étiquette « Action Républicaine et Sociale ».
Il entendait bien succéder au tenant du titre, M. Antonin CHOPIN, qui ne se représentait pas.
Voici déjà un appel à voter et à ne pas s’abstenir, qui, hélas, ne sera pas trop suivi d’effet, puisque cette année-là, l’abstention atteint au plan national 43,51 %, ce qui est néanmoins beaucoup moins qu’en 2011, lors des dernières cantonales en date où l’abstention atteindra… 55,68 % !
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89lections_cantonales_fran%C3%A7aises_de_1961
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Puis le programme, très intéressant de M. Dupont.
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Même si des axes du programme de M. Dupont ne correspondaient pas vraiment à l’époque aux attributions d’un conseiller général, son programme m’est très sympathique.
On comprendra que de nombreux thèmes sont encore et toujours d’actualité :
- Rénovation des institutions républicaines
- Amélioration du salaire des ouvriers, des fonctionnaires
- Rechercher les moyens d’aider la jeunesse
- Démocratisation de l’Enseignement
Et puis surtout des thèmes très locaux :
- Implantation de nouvelles usines dans le canton afin d’éviter l’exode quotidien des travailleurs
- Etablir un parfait équilibre commercial… (Suivez mon regard !)
M. Dupont ne fut pas élu.
Celui qui remporta les élections fut M. Henri Ballot (Divers Droite), le beau-père de Mme Gisèle Ballot, ex-Présidente de la Croix-Rouge locale, récemment remplacée par l’épouse de notre édilanous.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Canton_de_Montereau-Fault-Yonne
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La France avait largement voté à droite, cette année-là, comme en témoignent les résultats nationaux :
http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89lections_cantonales_fran%C3%A7aises_de_1961
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Intéressant, non ?
A demain !
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Chef-d’oeuvre peut-être pas en péril pour tout le monde…
Un fidèle Flambergien d’entre les fidèles m’a proposé un petit voyage artistique et spatio-temporel, qui débouche sur une vraie question qui lui tient à juste titre à coeur.
Cette question est assez simple, et à ce jour n’a « étonnamment » pas de réponse : qu’est devenue une oeuvre d’art monterelaise réalisée par l’artiste-sculpteur Françoise Salmon ?
Mais commençons par le commencement.
Nous voici en octobre 1989, dans la cour de l’ancienne école monterelaise Jules-Ferry, démolie, reconstruite et devenue l’école Claude-Sigonneau.
Derrière les écoliers du CE2 et leur maîtresse (qu’au passage je salue bien bas et qui se reconnaîtra), et devant l’entrée de l’école maternelle, on distingue assez difficilement une sculpture en haut relief et en aluminium qui représente un bouquetin.
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Lors de la construction de l’école, la législation en vigueur précisait qu’un pourcentage du montant financier devait être dévolu à l’achat et l’installation d’une oeuvre artistique.
(La législation a hélas changé…)
C’est pour cette raison que la municipalité de l’époque élue en 1971 (le maire était alors le Dr Samuel Ettedgui) a été appelée à rechercher une oeuvre pour la maternelle Jules Ferry.
Mme Françoise Salmon, sculpteur, a été contactée et a proposé une statue d’une mère avec son enfant qu’elle avait.
Les services préfectoraux ont alors exigé que ce soit une oeuvre spécifique.
En pensant au site de Pincevent tout proche, il a été proposé un bouquetin dont un élu avait des photos prises par ses soins.
Cette oeuvre en haut relief en aluminium travaillé par un dinandier a donc été réalisée et mise en place vers 1973.
En voici une reproduction au 1/6ème, récemment acquise par le fidèle Flambergien à qui nous devons le papier du jour :
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Mme Françoise Salmon est une artiste-sculpteur mondialement reconnue, photographiée ici par Gérald Bloncourt.
http://bloncourt.over-blog.net/pages/JE_LES_AI_RENCONTRES_PeintresArtistes-1705199.html
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Déportée, rescapée du camp d’Auschwitz, elle a signé de grandes oeuvres.
Voici sa biographie que l’on peut trouver sur le site de la municipalité de la Courneuve :
http://www.ville-la-courneuve.fr/5_regards/journal.php?id=2445
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La question posée en début de papier est donc on ne peut plus légitime :
Qu’est donc devenue cette oeuvre ?
En effet, l’école a été démolie voici une dizaine d’années.
La statue a donc dû être enlevée.
Une demande de renseignements a déjà été faite par celui qui m’a interpellé.
En vain.
On n’a pas été en mesure, à la mairie de Montereau, de lui donner une réponse.
Cette sculpture est pourtant une oeuvre acquise par la municipalité, et elle se devrait d’être exposée, ou tout du moins répertoriée dans un catalogue des possessions artistiques.
Bien entendu, si un lecteur a des informations, il peut me laisser un message que je me ferai évidemment un plaisir de transmettre à l’intéressé.
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Notre grand concours : mon brushing est partout !
En ce lundi férié, j’aimerais juste vous présenter aujourd’hui une petite séquence rétro, dans le cadre de notre rubrique « Ah ! Ca ne nous rajeunit pas ! »
En effet, étant résolument adepte des valeurs de la gauche, je suis néanmoins assez conservateur, mais seulement en matière d’archives en tous genres.
Voici donc aujourd’hui un document assez intéressant.
Il s’agit du journal de notre Député-Maire-ex-ARES-PR-plus-UMP-Avocat-346-544 qui vantait son premier mandat en tant que député de la troisième circonscription de Seine-et-Marne.
Nous étions alors en 2006, juste avant les élections législatives à venir, et un certain ministre le l’intérieur que vous allez reconnaître était venu traîner ses guêtres à Cannes-Ecluse.
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Au cours des semaines qui viennent, nous aurons l’occasion de reparler bien entendu plus en détail du contenu de ce luxueux magazine de vingt pages au format imposant.
Aujourd’hui, en ce jour férié, il s’agit juste d’une petite présentation.
Sommaire et rapide…
Je me suis juste amusé à compter le nombre de fois où la photo de notre édilanous était reproduite, comme le rapporte la rubrique « ma binette est partout » du Canard Enchaîné.
Not’ bon maire, en vingt pages, a réussi l’exploit de publier sa photo… 37 fois.
Je vous laisse calculer la moyenne exacte par page…
Je vais quand même vous communiquer le plus beau cliché à mon sens.
Il s’agit de cette photo en compagnie de M. Zapatero…
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Bien entendu, si le coeur vous en dit, vous pouvez renouer avec une tradition qui s’est un peu perdue ici, à savoir légender cette magnifique illustration…
Allez ! Bonne cloches !
Le papier de demain sera nettement moins drôle…
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Flash back mahorais…
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Flash back mahorais…
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Si vous suivez un peu l’actualité ultra-marine, vous savez certainement qu’en ce moment, à Mayotte, on assiste à de graves heurts entre jeunes et forces de l’ordre. Le but de ces manifestations : dénoncer la vie chère.
Ces incidents m’ont subitement fait me rappeler qu’en avril 2008, tout juste après sa nomination au poste tellement envié de Secrétaire-d’Etat-chargé de l’Outre-Mer le 18 mars de la même année, Yves Jégo avait réalisé son tout premier voyage à Mayotte.
Le Canard Enchaîné n’avait d’ailleurs pas manqué de rapporter à cette occasion la toute « première bourde » (je cite le palmipède) de notre édilanous en tant qu’alors SEAOMMUMP.
Voici ce que j’écrivais à ce sujet le 7 avril 2008.
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Chose promise chose due : je vous propose aujourd’hui une toute petite revue de presse consacrée au premier déplacement hors métropole de notre nouveau Secrétaire d’Etat à l’Outre-Mer-Maire-UMP.
Bon. Soyons justes : dans toute chose, il faut bien débuter, et on ne peut pas, du premier coup, faire des miracles, se montrer en mieux de sa forme, se voir immédiatement porté au pinacle ou encore atteindre les sommets et les cimes.
Non, bien sûr… Qui n’a d’ailleurs jamais connu ce “syndrome de la première fois”…
J’en veux pour preuve le début très éloquent de cet article du Figaro, sous la plume de Rodolphe Geisler, où l’on pouvait déceler comme une sorte de véritable enthousiasme rédactionnel :
“Pour son premier déplacement à Mayotte, le nouveau secrétaire d’État chargé de l’Outre-Mer, Yves Jégo, n’aura pas eu droit à l’accueil, plus ou moins spontané, traditionnellement réservé aux cortèges ministériels par les femmes mahoraises, le long de la route de l’aéroport. Tout au plus, quelques zébus, attachés sur les bas-côtés, ont pu observer avec indifférence la scène.“
En un mot comme en cent, pas de femmes pour notre SEAOMMUMP, mais des ruminants à la fois attachés et indifférents ! Pas de meufs, seulement des vaches !
Je pense que la Conseillère municipale monterelaise déléguée à la vie animale n’a pas manqué d’apprécier à sa juste valeur cette pittoresque description locale digne d’un Buffon au mieux de sa forme…
Mais c’est dans le Canard Enchaîné (encore une bestiole) de cette semaine, le N° 4562 daté du 2 avril très précisément, qu’on pouvait mesurer à sa juste valeur ce premier déplacement à l’extérieur, grâce à un article de la page 2 intitulé… “Première bourde” (sic).
Le palmipède revient en détail sur cette “première gamelle” (je cite encore), et les événements dont je vous entretenais naguère : boycott des élus UMP, les émeutes à Mayotte, et surtout le “virage sur l’aile” (je cite toujours) de notre édile-à-nous :
Depuis la préfecture, il annonce que la France va offrir l’asile au président anjouanais Mohamed Bacar : “Nous réfléchissons aux conditions de son assignation à résidence pour établir sa demande d’asile politique, qui sera étudiée selon les lois et les réglements de la République.“
Et puis quelques heures après, avec la même détermination : “Il sera remis à la justice dès son arrivée sur le territoire de la Réunion, […] pour non-respect de la législation française dans l’entrée clandestine à Mayotte et la détention d’armes.“
Conclusion du journaliste : “Entre-temps, l’Elysée et le Quai d’Orsay avaient remis les pendules à l’heure. Bon courage à Jégo pour son prochain voyage...”
Le président Anjouanais en fuite à Mayotte Mohamed Bacar en avril 2008
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Un prochain voyage que nous sommes quelques-uns à attendre impatiemment.
Ce sera le syndrome de la deuxième fois…
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J’ai pensé qu’il fallait un peu revenir sur cette « première gamelle » de not’ bon maire, une gamelle qui sera plus tard reléguée en tant que telle par le clash avec Cécile Marre, la garden partie rue Oudinot, les baleines du Secrétariat d’Etat, le clash avec Eric Rayapin, les médiateurs en Guadeloupe, le coup de fil de Claude Guéant, le déménagement de toute la famille de l’hôtel de Montmorin…
Ah ! Tout ceci ne nous rajeunit pas….
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Si j’aurais su, j’aurais pas rev’nu !
Avant-Post
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Léo, on pense à toi !
Audience aujourd’hui à 10h00 du tribunal administratif de Melun pour statuer sur la demande d’annulation de l’élection de Léo Aiello, conseiller général de notre canton.
(Une demande d’annulation déposée, je vous le rappelle, par Jean-Marie Albouy, candidat battu et 1er adjoint au Maire de Montereau.)
Voulez-vous que je vous dise : je suis très confiant !
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Si j’aurais su, j’aurais pas rev’nu !
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Aujourd’hui, c’est à un autre petit retour en arrière estival que je vous convie.
Cet été, Ludovic Vigogne, journaliste à Paris Match, a été interviewer notre Député-Maire-ARES-ex-UMP-Avocat-346-544.
Le thème de cette petite causerie était assez simple : il s’agissait de faire avouer à notre édilanous que finalement, en mars 2009, en pleine crise guadeloupéenne, et alors chargé du Secrétariat d’Etat chargé de l’Outre-mer, notre édilanous n’aurait pas dû quitter la Guadeloupe.
Je vous laisse découvrir tout ceci…
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Notre DM-ARES-ex-UMP-Avocat-346-544 l’avoue enfin !
Le mea culpa évoqué dans la titraille est clair et net : il aurait dû désobéir au premier ministre François Fillon !
Ah ! Comme ça aurait été beau, un Secrétaire d’Etat désobéisseur ! Un rebelle, quoi…
Retranché dans la préfecture guadeloupéenne, il aurait fallu faire donner la troupe pour l’en déloger…
Peut-être même trois ou quatre bataillons de CRS robocopisés auraient-ils dû utiliser une douzaine de grenades lacrymogènes pour y faire sortir un Yves Jégo s’accrochant à son bureau, les yeux rougis et larmoyants.
Mais, non, finalement, il a obéi. Il est rentré à Paris…
Un Secrétaire d’Etat qui obéit, qui semble prendre une avoinée, tout en découvrant subitement qu’au MEDEF, c’est rien que des méchants !
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Puis, François Fillon l’a réexpédié dans l’île mais flanqué de deux médiateurs.
Et pour certains, vous allez voir comme la rancune est tenace !
Not’ bon maire n’a toujours pas digéré son éviction du gouvernement trois mois après cette crise ultra-marine !
On aura en tout cas bien compris quel était le conseil de l’été dispensé par Yves Jégo aux futurs Secrétaires d’Etat : n’hésitez pas à désobéir à votre premier ministre !
Bon, allez…. Je sens bien qu’une certaine photo vous manque, car ça fait quand même longtemps…
C’est bien parce que c’est vous…
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Ah ! C’était le bon temps !
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M. HOU du Caillou (24)
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Vous l’avez remarqué, il est revenu le temps des vacances d’été !
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C’est pourquoi, M. HOU s’est vu confier par votre serviteur les clefs de la boutique.
Après avoir débuté sa brillante carrière dans les colonnes de la Délivrance, M. HOU reprit du service dans l’hebdomadaire d’infos locales monterelais « Le Caillou », du 10 mai 1996 au 18 juin 1998.
Oui, tout ceci ne nous rajeunit pas, nous étions alors au XXème siècle !…
Tout au long des semaines à venir, je vous propose de retrouver des billets concernant l’actualité plus ou moins locale, et qui rappelleront quelques souvenirs aux abonnés et aux lecteurs de ce journal trop tôt disparu !
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Le 07/11/1997
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M. HOU du Caillou (23)
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Vous l’avez remarqué, il est revenu le temps des vacances d’été !
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C’est pourquoi, M. HOU s’est vu confier par votre serviteur les clefs de la boutique.
Après avoir débuté sa brillante carrière dans les colonnes de la Délivrance, M. HOU reprit du service dans l’hebdomadaire d’infos locales monterelais « Le Caillou », du 10 mai 1996 au 18 juin 1998.
Oui, tout ceci ne nous rajeunit pas, nous étions alors au XXème siècle !…
Tout au long des semaines à venir, je vous propose de retrouver des billets concernant l’actualité plus ou moins locale, et qui rappelleront quelques souvenirs aux abonnés et aux lecteurs de ce journal trop tôt disparu !
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Le 03/10/1997
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M. HOU du Caillou (22)
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Vous l’avez remarqué, il est revenu le temps des vacances d’été !
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C’est pourquoi, M. HOU s’est vu confier par votre serviteur les clefs de la boutique.
Après avoir débuté sa brillante carrière dans les colonnes de la Délivrance, M. HOU reprit du service dans l’hebdomadaire d’infos locales monterelais « Le Caillou », du 10 mai 1996 au 18 juin 1998.
Oui, tout ceci ne nous rajeunit pas, nous étions alors au XXème siècle !…
Tout au long des semaines à venir, je vous propose de retrouver des billets concernant l’actualité plus ou moins locale, et qui rappelleront quelques souvenirs aux abonnés et aux lecteurs de ce journal trop tôt disparu !
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Le 03/10/1997
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M. HOU du Caillou (21)
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Vous l’avez remarqué, il est revenu le temps des vacances d’été !
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C’est pourquoi, M. HOU s’est vu confier par votre serviteur les clefs de la boutique.
Après avoir débuté sa brillante carrière dans les colonnes de la Délivrance, M. HOU reprit du service dans l’hebdomadaire d’infos locales monterelais « Le Caillou », du 10 mai 1996 au 18 juin 1998.
Oui, tout ceci ne nous rajeunit pas, nous étions alors au XXème siècle !…
Tout au long des semaines à venir, je vous propose de retrouver des billets concernant l’actualité plus ou moins locale, et qui rappelleront quelques souvenirs aux abonnés et aux lecteurs de ce journal trop tôt disparu !
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Le 19/09/1997
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M. HOU du Caillou (20)
Vous l’avez remarqué, il est revenu le temps des vacances d’été !
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C’est pourquoi, M. HOU s’est vu confier par votre serviteur les clefs de la boutique.
Après avoir débuté sa brillante carrière dans les colonnes de la Délivrance, M. HOU reprit du service dans l’hebdomadaire d’infos locales monterelais « Le Caillou », du 10 mai 1996 au 18 juin 1998.
Oui, tout ceci ne nous rajeunit pas, nous étions alors au XXème siècle !…
Tout au long des semaines à venir, je vous propose de retrouver des billets concernant l’actualité plus ou moins locale, et qui rappelleront quelques souvenirs aux abonnés et aux lecteurs de ce journal trop tôt disparu !
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Le 18/07/1997
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